La Rencontre de Saydet el-Jabal a critiqué lundi la visite du ministre iranien des Affaires étrangères, Hossein Amir Abdollahian, au Liban, dénonçant un «appel piégé» au consensus entre les Libanais pour élire un président de la République.
Dans un communiqué publié en début d’après-midi, Saydet el-Jabal a attaqué l'insistance du ministre iranien sur la nécessité de soutenir le triptyque (Résistance, Armée, Peuple) et sa position vis-à-vis de l’accord saudo-iranien; ajoutant cela constitue une ingérence iranienne flagrante dans les affaires libanaises, en faveur du Hezbollah, qui poursuit son projet d'occupation.
La Rencontre a également souligné que cette visite mettait une fois de plus l'opposition libanaise face à ses responsabilités nationales, notamment celle de s’unir autour d’un candidat à la présidentielle. «Ce candidat devra s'engager à respecter les accords de Taëf et les résolutions internationales 1559, 1701 et 1680», peut-on lire dans le texte.
Par ailleurs, Saydet el-Jabal a estimé que la crise des réfugiés syriens a commencé à prendre une tournure dramatique sur les plans sécuritaire, économique et démographique. «Aucune solution à ce problème n'est envisageable en l'absence d'un État libanais souverain, capable de gérer les camps des réfugiés conformément aux lois libanaises et aux intérêts économiques du Liban, tout en assurant un contrôle minutieux des frontières», a déploré la Rencontre.
Dans un communiqué publié en début d’après-midi, Saydet el-Jabal a attaqué l'insistance du ministre iranien sur la nécessité de soutenir le triptyque (Résistance, Armée, Peuple) et sa position vis-à-vis de l’accord saudo-iranien; ajoutant cela constitue une ingérence iranienne flagrante dans les affaires libanaises, en faveur du Hezbollah, qui poursuit son projet d'occupation.
La Rencontre a également souligné que cette visite mettait une fois de plus l'opposition libanaise face à ses responsabilités nationales, notamment celle de s’unir autour d’un candidat à la présidentielle. «Ce candidat devra s'engager à respecter les accords de Taëf et les résolutions internationales 1559, 1701 et 1680», peut-on lire dans le texte.
Par ailleurs, Saydet el-Jabal a estimé que la crise des réfugiés syriens a commencé à prendre une tournure dramatique sur les plans sécuritaire, économique et démographique. «Aucune solution à ce problème n'est envisageable en l'absence d'un État libanais souverain, capable de gérer les camps des réfugiés conformément aux lois libanaises et aux intérêts économiques du Liban, tout en assurant un contrôle minutieux des frontières», a déploré la Rencontre.
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