Ghayath Yazbeck, député de Batroun des Forces libanaises a affirmé que si un président n'est pas élu dans les prochains mois, « la vacance du pouvoir se poursuivra indéfiniment ».
Lors d’un entretien accordé dimanche à la radio "Voix de tout le Liban", le député a réitéré l’ouverture des FL à tout candidat qui ne soit pas un candidat de défi, « sans qu’il ne soit pour autant neutre ou fade ». M. Yazbek a également attribué la responsabilité du blocage des séances électorales au président de la Chambre Nabih Berri.
Concernant les canaux de communications ouverts par les FL pour tenter un déblocage du dossier présidentiel, il a indiqué que le dialogue avec le Courant patriotique libre se limite aux députés. Il a également souligné que son parti refuserait de participer à des séances de dialogue ayant pour objectif l’élection de Sleiman Frangié.
Par ailleurs, M. Yazbek a estimé qu'aucune solution n'existe à la crise des réfugiés syriens qui ne menacerait pas le régime syrien de Bachar el-Assad. Et de conclure sur la réunion des ministres arabes des Affaires étrangères prévue aujourd'hui dimanche pour discuter du retour de la Syrie à la Ligue arabe : « Les calculs de Bachar el-Assad ne correspondent pas à ceux des pays arabes, et le retour de la Syrie pourrait avoir des conséquences négatives pour le Liban. »
Lors d’un entretien accordé dimanche à la radio "Voix de tout le Liban", le député a réitéré l’ouverture des FL à tout candidat qui ne soit pas un candidat de défi, « sans qu’il ne soit pour autant neutre ou fade ». M. Yazbek a également attribué la responsabilité du blocage des séances électorales au président de la Chambre Nabih Berri.
Concernant les canaux de communications ouverts par les FL pour tenter un déblocage du dossier présidentiel, il a indiqué que le dialogue avec le Courant patriotique libre se limite aux députés. Il a également souligné que son parti refuserait de participer à des séances de dialogue ayant pour objectif l’élection de Sleiman Frangié.
Par ailleurs, M. Yazbek a estimé qu'aucune solution n'existe à la crise des réfugiés syriens qui ne menacerait pas le régime syrien de Bachar el-Assad. Et de conclure sur la réunion des ministres arabes des Affaires étrangères prévue aujourd'hui dimanche pour discuter du retour de la Syrie à la Ligue arabe : « Les calculs de Bachar el-Assad ne correspondent pas à ceux des pays arabes, et le retour de la Syrie pourrait avoir des conséquences négatives pour le Liban. »
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