La rencontre de Saydet el-Jabal a estimé lundi que «la bataille pour la présidentielle ne porte pas sur des noms de candidats; la confrontation essentielle est la lutte contre l’occupation iranienne, en appliquant la Constitution, l’accord de Taëf et les décisions arabes et les résolutions du Conseil de sécurité des Nations unies 1559, 1701 et 1680».
Pour rappel, la résolution 1701 a mis fin à la guerre menée par Israël contre le Liban en 2006. Les résolutions 1559 et 1680, adoptées respectivement en 2004 et 2006, prévoient «le désarmement de tous les groupes armés au Liban, afin que, conformément à la décision du gouvernement libanais du 27 juillet 2006, seul l’État libanais soit autorisé à détenir des armes et à exercer son autorité au Liban».
«Sans la levée de l’occupation iranienne du Liban, la recherche d’un candidat patriotique pour la présidence restera vaine», lit-on dans un communiqué publié par la Rencontre de Saydet el-Jabal à l’issue de sa réunion hebdomadaire. «Toutes les autres batailles sont secondaires», s'ensuivait-il.
La rencontre a, par ailleurs, souligné que «l’occupation iranienne du Liban, qui s’est dévoilée au grand jour le 7 mai 2008, et l’invasion, à cette date, par le Hezbollah de Beyrouth et de la Montagne constituent un examen pour les trois fonctions constitutionnelles». Saydet el-Jabal a, à cet égard, souligné que «le président de la République ne peut être élu sans l’aval du Hezbollah». Idem pour «le gouvernement qui ne peut être formé si son chef, le nombre de ministres qui le composent et la déclaration ministérielle ne sont pas avalisés par le Hezb». «Le président de la Chambre est, lui aussi, choisi par le Hezbollah, a ajouté Saydet el-Jabal. Aucune loi électorale ne peut non plus être votée si elle n’est pas dans l’intérêt du Hezb.»
Le 7 mai 2008, le Hezbollah et ses alliés avaient occupé Beyrouth-Ouest et la montagne par la force des armes pour contraindre le cabinet de Fouad Siniora à revenir sur les décisions qu’il avait prises pour démanteler la structure de télécommunications du Hezbollah.
La rencontre a enfin exprimé son inquiétude quant à la réintégration de la Syrie dans la Ligue arabe, «vu que ce régime ne tient pas ses promesses». «La réhabilitation de ce régime avant le retour des déplacés syriens dans leur pays prouve qu’il ne respecte aucune promesse», a conclu Saydet el-Jabal.
Pour rappel, la résolution 1701 a mis fin à la guerre menée par Israël contre le Liban en 2006. Les résolutions 1559 et 1680, adoptées respectivement en 2004 et 2006, prévoient «le désarmement de tous les groupes armés au Liban, afin que, conformément à la décision du gouvernement libanais du 27 juillet 2006, seul l’État libanais soit autorisé à détenir des armes et à exercer son autorité au Liban».
«Sans la levée de l’occupation iranienne du Liban, la recherche d’un candidat patriotique pour la présidence restera vaine», lit-on dans un communiqué publié par la Rencontre de Saydet el-Jabal à l’issue de sa réunion hebdomadaire. «Toutes les autres batailles sont secondaires», s'ensuivait-il.
La rencontre a, par ailleurs, souligné que «l’occupation iranienne du Liban, qui s’est dévoilée au grand jour le 7 mai 2008, et l’invasion, à cette date, par le Hezbollah de Beyrouth et de la Montagne constituent un examen pour les trois fonctions constitutionnelles». Saydet el-Jabal a, à cet égard, souligné que «le président de la République ne peut être élu sans l’aval du Hezbollah». Idem pour «le gouvernement qui ne peut être formé si son chef, le nombre de ministres qui le composent et la déclaration ministérielle ne sont pas avalisés par le Hezb». «Le président de la Chambre est, lui aussi, choisi par le Hezbollah, a ajouté Saydet el-Jabal. Aucune loi électorale ne peut non plus être votée si elle n’est pas dans l’intérêt du Hezb.»
Le 7 mai 2008, le Hezbollah et ses alliés avaient occupé Beyrouth-Ouest et la montagne par la force des armes pour contraindre le cabinet de Fouad Siniora à revenir sur les décisions qu’il avait prises pour démanteler la structure de télécommunications du Hezbollah.
La rencontre a enfin exprimé son inquiétude quant à la réintégration de la Syrie dans la Ligue arabe, «vu que ce régime ne tient pas ses promesses». «La réhabilitation de ce régime avant le retour des déplacés syriens dans leur pays prouve qu’il ne respecte aucune promesse», a conclu Saydet el-Jabal.
Lire aussi
Commentaires