L’ambassadeur de l’Union européenne au Liban, Ralph Tarraf, a insisté mardi sur «la nécessité de restaurer de toute urgence la capacité du Liban à prendre et à mettre en œuvre des décisions politiques et administratives». «Cela sous-entend l’élection d’un président de la République, la formation d’un gouvernement de plein pouvoir et la conclusion d’ententes pour la désignation de hauts responsables», a-t-il déclaré. Il a, dans le même ordre d’idées, mis l’accent sur l’importance de réajuster les salaires des fonctionnaires et des forces de sécurité et de mettre fin à la fuite des cerveaux.
«Le Liban doit trouver une solution à la crise économique», a poursuivi M. Tarraf lors d’un discours prononcé à l’occasion de la Journée de l’Europe. Il a souligné à cet égard l’importance de mener les réformes financières et économiques nécessaires.
Se penchant sur la crise des déplacés syriens, M. Tarraf a fait remarquer que l’Europe fait face au même problème, «même si le nombre des déplacés n’est pas le même» et que «l’Europe est mieux équipée pour faire face aux défis». Il a, à cet égard signalé, que tant l’Europe que le Liban partagent «la conviction que chaque être humain a le droit de vivre en sécurité et dans la dignité, et a le droit de jouir pleinement des droits humains fondamentaux». «Les décideurs au Liban et en Europe doivent trouver un équilibre entre les préoccupations des citoyens et les principes humanitaires, entre la tendance à se fermer et la volonté de rester ouvert sur le monde», a ajouté M. Tarraf, notant qu’il s’agit «en toutes circonstances, d’un exercice d’équilibre délicat». «Il n’y a pas de solutions faciles ni de solutions rapides à cela», a-t-il avancé. Et de noter que les responsables libanais doivent se concentrer sur les mesures qui peuvent être prises, «de manière concrète» pour faire face aux défis. «Il y va de la sécurité, de la dignité et du bien-être des Libanais», a relevé M. Tarraf.
Affirmant que l’Europe reste «solidaire avec le Liban» et continue «d’apporter son soutien aux personnes les plus vulnérables», M. Tarraf a assuré que l’Europe œuvre à «promouvoir la bonne gouvernance et le respect des droits de l'homme, à renforcer l'indépendance du pouvoir judiciaire et à soutenir les Libanais dans leur lutte contre la corruption». «Nous soutenons les institutions libanaises pour qu’elles puissent offrir à la population ce dont elle a besoin, notamment dans les secteurs de l’éducation, la santé et l’eau», a-t-il conclu.
«Le Liban doit trouver une solution à la crise économique», a poursuivi M. Tarraf lors d’un discours prononcé à l’occasion de la Journée de l’Europe. Il a souligné à cet égard l’importance de mener les réformes financières et économiques nécessaires.
Se penchant sur la crise des déplacés syriens, M. Tarraf a fait remarquer que l’Europe fait face au même problème, «même si le nombre des déplacés n’est pas le même» et que «l’Europe est mieux équipée pour faire face aux défis». Il a, à cet égard signalé, que tant l’Europe que le Liban partagent «la conviction que chaque être humain a le droit de vivre en sécurité et dans la dignité, et a le droit de jouir pleinement des droits humains fondamentaux». «Les décideurs au Liban et en Europe doivent trouver un équilibre entre les préoccupations des citoyens et les principes humanitaires, entre la tendance à se fermer et la volonté de rester ouvert sur le monde», a ajouté M. Tarraf, notant qu’il s’agit «en toutes circonstances, d’un exercice d’équilibre délicat». «Il n’y a pas de solutions faciles ni de solutions rapides à cela», a-t-il avancé. Et de noter que les responsables libanais doivent se concentrer sur les mesures qui peuvent être prises, «de manière concrète» pour faire face aux défis. «Il y va de la sécurité, de la dignité et du bien-être des Libanais», a relevé M. Tarraf.
Affirmant que l’Europe reste «solidaire avec le Liban» et continue «d’apporter son soutien aux personnes les plus vulnérables», M. Tarraf a assuré que l’Europe œuvre à «promouvoir la bonne gouvernance et le respect des droits de l'homme, à renforcer l'indépendance du pouvoir judiciaire et à soutenir les Libanais dans leur lutte contre la corruption». «Nous soutenons les institutions libanaises pour qu’elles puissent offrir à la population ce dont elle a besoin, notamment dans les secteurs de l’éducation, la santé et l’eau», a-t-il conclu.
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