L’ambassadeur d’Arabie saoudite, Walid Boukhari, a reçu jeudi, à Yarzé, le chef des Marada, Sleiman Frangié, qui s’est contenté de commenter la visite sur son compte Twitter. «Je remercie l’ambassadeur pour son invitation. La rencontre était cordiale et fructueuse», a-t-il ainsi écrit.
Cette entrevue intervient alors que de nombreuses informations ont fait état de l’opposition, ou tout au moins de réserves, de la part de Riyad à l’égard de la candidature de Sleiman Frangié. Ce que les dirigeants saoudiens réfutent, soulignant que Riyad n’aborde la présidentielle que sous l’angle de critères bien précis dans le choix du président, à savoir l’élection d’un président qui puisse mettre en place des réformes et relancer le processus d’un État central capable d’imposer son autorité.
Cet entretien s’inscrit dans le cadre de l’intensification récente des démarches à plus d’un niveau en vue de débloquer la présidentielle.
M. Boukhari a par ailleurs rencontré dans l’après-midi les députés de la Modération nationale (députés du Liban-Nord et du Akkar, anciens haririens en majorité).
Cette entrevue intervient alors que de nombreuses informations ont fait état de l’opposition, ou tout au moins de réserves, de la part de Riyad à l’égard de la candidature de Sleiman Frangié. Ce que les dirigeants saoudiens réfutent, soulignant que Riyad n’aborde la présidentielle que sous l’angle de critères bien précis dans le choix du président, à savoir l’élection d’un président qui puisse mettre en place des réformes et relancer le processus d’un État central capable d’imposer son autorité.
Cet entretien s’inscrit dans le cadre de l’intensification récente des démarches à plus d’un niveau en vue de débloquer la présidentielle.
M. Boukhari a par ailleurs rencontré dans l’après-midi les députés de la Modération nationale (députés du Liban-Nord et du Akkar, anciens haririens en majorité).
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