©Samy Gemayel se prononçant à l’issue d’un entretien à Saïfi avec Waël Bou Faour. ©DR
Le chef du parti Kataëb, Samy Gemayel, a insisté jeudi sur la nécessité d’élire un président dans les plus brefs délais, plaidant pour un chef de l’État qui «s’attaquera aux problèmes structurels du pays».
«Le temps n’est pas en notre faveur», a déclaré M. Gemayel, à l’issue d’un entretien à Saïfi avec Waël Bou Faour, député joumblattiste. Cette rencontre s’inscrit dans le cadre des contacts qui s’intensifient à plus d’un niveau dans le dossier de la présidentielle en vue d’aboutir à une candidature qui puisse rassembler toutes les composantes de l’opposition.
«Nous sommes soucieux d’élire un président de la République le plus rapidement possible, a ajouté M. Gemayel. Mais, nous refusons de nous incliner devant le fait accompli et la logique de blocage.»
«Nous déploierons tous les efforts nécessaires pour ouvrir une brèche dans le dossier de la présidentielle», a poursuivi le chef des Kataëb, affirmant que son parti refuse qu’un gouverneur de la banque centrale soit nommé, d’ici à deux mois avec la fin du mandat de Riad Salamé, «en dehors des pratiques constitutionnelles, c’est-à-dire par un gouvernement démissionnaire, en l’absence d’un président de la République».
Et M. Gemayel d’insister: «Nous voulons que le nouveau chef de l’État ouvre une nouvelle page de l’histoire du Liban, entame un dialogue sérieux entre les différentes composantes du pays et qu’il s’attaque aux problèmes structurels du Liban.»
«Le temps n’est pas en notre faveur», a déclaré M. Gemayel, à l’issue d’un entretien à Saïfi avec Waël Bou Faour, député joumblattiste. Cette rencontre s’inscrit dans le cadre des contacts qui s’intensifient à plus d’un niveau dans le dossier de la présidentielle en vue d’aboutir à une candidature qui puisse rassembler toutes les composantes de l’opposition.
«Nous sommes soucieux d’élire un président de la République le plus rapidement possible, a ajouté M. Gemayel. Mais, nous refusons de nous incliner devant le fait accompli et la logique de blocage.»
«Nous déploierons tous les efforts nécessaires pour ouvrir une brèche dans le dossier de la présidentielle», a poursuivi le chef des Kataëb, affirmant que son parti refuse qu’un gouverneur de la banque centrale soit nommé, d’ici à deux mois avec la fin du mandat de Riad Salamé, «en dehors des pratiques constitutionnelles, c’est-à-dire par un gouvernement démissionnaire, en l’absence d’un président de la République».
Et M. Gemayel d’insister: «Nous voulons que le nouveau chef de l’État ouvre une nouvelle page de l’histoire du Liban, entame un dialogue sérieux entre les différentes composantes du pays et qu’il s’attaque aux problèmes structurels du Liban.»
Lire aussi
Commentaires