De nombreuses personnalités libanaises ont rendu hommage à Sejaan Azzi, décédé jeudi à l’âge de 71 ans, au terme d’une longue lutte contre la maladie.
L’ancien chef de l’État Michel Sleiman a ainsi souligné qu’avec le décès de Sejaan Azzi, «le Liban perd une personnalité qui a joué un rôle de premier plan sur le plan de la politique et de la pensée». «Le monde des médias perd l’une de ses grandes figures, a-t-il ajouté. Et sur le plan personnel, je perds un ami.»
Le chef du parti Kataëb Samy Gemayel a salué «un combattant qui a consacré sa vie à défendre la cause libanaise au sein du parti et dans les rangs de la résistance libanaise, et un grand écrivain».
Nadim Gemayel, député de Beyrouth, a affirmé de son côté qu’avec le décès de Sejaan Azzi, sa famille a perdu «un ami fidèle et le Liban a perdu un combattant et un penseur».
«Nous nous sommes retrouvés dans la lutte commune pour la seconde indépendance et la victoire de la Révolution du Cèdre», a déclaré de son côté Marwan Hamadé, député du Chouf. «Sejaan a été audacieux et le fer de lance dans son combat souverainiste», a-t-il ajouté.
Quant à Neemat Frem, député du Kesrouan, il a rendu hommage à «un homme de pensée et de dialogue» et à «un ami» qui s’est distingué par «son ouverture et son élégance».
Chaawki Daccache, député FL, a pour sa part salué un «combattant féroce de la résistance libanaise» et «un compagnon de Bachir Gemayel». Même avis chez Camille Chamoun, qui a rendu hommage sur son compte Twitter à «un journaliste et homme politique qui a lutté pour la souveraineté et l’identité du Liban».
L’ancien Premier ministre Fouad Siniora a pour sa part salué «une figure nationale qui a longtemps œuvré pour le vivre-ensemble».
Enfin, le président de l’ordre des rédacteurs Joseph Kossaïfy a indiqué dans un communiqué que «l’allégeance de Sejaan Azzi allait au parti Kataëb et à la presse» dont il était «l’un des plus grands défenseurs».
L’ancien chef de l’État Michel Sleiman a ainsi souligné qu’avec le décès de Sejaan Azzi, «le Liban perd une personnalité qui a joué un rôle de premier plan sur le plan de la politique et de la pensée». «Le monde des médias perd l’une de ses grandes figures, a-t-il ajouté. Et sur le plan personnel, je perds un ami.»
Le chef du parti Kataëb Samy Gemayel a salué «un combattant qui a consacré sa vie à défendre la cause libanaise au sein du parti et dans les rangs de la résistance libanaise, et un grand écrivain».
Nadim Gemayel, député de Beyrouth, a affirmé de son côté qu’avec le décès de Sejaan Azzi, sa famille a perdu «un ami fidèle et le Liban a perdu un combattant et un penseur».
«Nous nous sommes retrouvés dans la lutte commune pour la seconde indépendance et la victoire de la Révolution du Cèdre», a déclaré de son côté Marwan Hamadé, député du Chouf. «Sejaan a été audacieux et le fer de lance dans son combat souverainiste», a-t-il ajouté.
Quant à Neemat Frem, député du Kesrouan, il a rendu hommage à «un homme de pensée et de dialogue» et à «un ami» qui s’est distingué par «son ouverture et son élégance».
Chaawki Daccache, député FL, a pour sa part salué un «combattant féroce de la résistance libanaise» et «un compagnon de Bachir Gemayel». Même avis chez Camille Chamoun, qui a rendu hommage sur son compte Twitter à «un journaliste et homme politique qui a lutté pour la souveraineté et l’identité du Liban».
L’ancien Premier ministre Fouad Siniora a pour sa part salué «une figure nationale qui a longtemps œuvré pour le vivre-ensemble».
Enfin, le président de l’ordre des rédacteurs Joseph Kossaïfy a indiqué dans un communiqué que «l’allégeance de Sejaan Azzi allait au parti Kataëb et à la presse» dont il était «l’un des plus grands défenseurs».
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