Le directeur du centre de Beyrouth de la Défense civile, Walid Hachache, qui avait été arrêté à un barrage de sécurité en Syrie, alors qu’il voulait se rendre en Égypte, a été libéré vendredi et a regagné la capitale libanaise.
La direction générale de la défense civile a indiqué dans un communiqué que «lors d'un congé administratif », Walid Hachache, a participé à une activité sportive transfrontalière. « Quand il a atteint la frontière syro-libanaise, un employé a retenu Walid Hachache pour des éclaircissements », peut-on lire dans le communiqué. Après que les choses aient été clarifiées, M. Hachache a regagné Beyrouth.
La Défense civile a remercié tous ceux qui ont manifesté de l'intérêt et « ont exprimé leur soutien à ses héros".
Dans une déclaration au quotidien « An-Nahar », Walid Hachache a indiqué avoir arrêté en raison d’une " dénonciation mensongère, il y a dix ans, motivée par des considérations personnelles », l’accusant d’avoir été impliqué dans des actes miliciens liés aux attaques du 7 mai 2008. En guise de rappel, le 7 mai 2008, le Hezbollah et ses alliés ont occupé Beyrouth par la force des armes pour faire plier le gouvernement, qui avait jugé illégal le réseau de télécommunication de la formation.
« J’ai cru que j’allais disparaitre pour toujours », a confié Walid Hachache, dont la libération a été le fruit de contacts sécuritaires entre les deux pays, à la suite d’un appel entre le directeur général de la Défense civile, Raymond Khattar, et le ministre sortant de l’Intérieur Bassam Maoulaoui.
La direction générale de la défense civile a indiqué dans un communiqué que «lors d'un congé administratif », Walid Hachache, a participé à une activité sportive transfrontalière. « Quand il a atteint la frontière syro-libanaise, un employé a retenu Walid Hachache pour des éclaircissements », peut-on lire dans le communiqué. Après que les choses aient été clarifiées, M. Hachache a regagné Beyrouth.
La Défense civile a remercié tous ceux qui ont manifesté de l'intérêt et « ont exprimé leur soutien à ses héros".
Dans une déclaration au quotidien « An-Nahar », Walid Hachache a indiqué avoir arrêté en raison d’une " dénonciation mensongère, il y a dix ans, motivée par des considérations personnelles », l’accusant d’avoir été impliqué dans des actes miliciens liés aux attaques du 7 mai 2008. En guise de rappel, le 7 mai 2008, le Hezbollah et ses alliés ont occupé Beyrouth par la force des armes pour faire plier le gouvernement, qui avait jugé illégal le réseau de télécommunication de la formation.
« J’ai cru que j’allais disparaitre pour toujours », a confié Walid Hachache, dont la libération a été le fruit de contacts sécuritaires entre les deux pays, à la suite d’un appel entre le directeur général de la Défense civile, Raymond Khattar, et le ministre sortant de l’Intérieur Bassam Maoulaoui.
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