Le secrétaire général du Hezbollah, Hassan Nasrallah, a appelé le gouvernement libanais à normaliser les relations avec la Syrie, et à dépêcher à Damas une délégation formée de plusieurs ministres et responsables sécuritaires, seul moyen selon lui de résoudre le dossier des réfugiés syriens.
Dans un discours à l’occasion de la commémoration annuelle de l’assassinat en 2016 à Damas de Moustapha Badreddine, haut-responsable de la formation, il a estimé que la réintégration de Damas au sein de la Ligue arabe, tout comme l’invitation du président Bachar al-Assad à participer au sommet de la Ligue, « constitue un signal très important ».
Il a dans ce cadre démenti que le Hezbollah occupe les habitations de ressortissants syriens et empêche le retour des réfugiés dans leurs villages. Il a également nié toute implication de sa formation dans la fabrication et le trafic de Captagon, affirmant qu’au contraire, « sans l’aide du Hezbollah, les autorités libanaises n’auraient pas réussi à arrêter les trafiquants de drogue ».
Concernant l’élection présidentielle au Liban, Hassan Nasrallah a déclaré que « les développements récents sont positifs », ajoutant: «L’ancien ministre Sleiman Frangié est un candidat naturel et sérieux qui a failli être élu auparavant ». Il a démenti que la formation pro-iranienne essaye « d’imposer » M. Frangié, précisant que « le droit naturel de chaque partie est d’appuyer un candidat, et le choix se fait par un vote au Parlement ». « Les portes du dialogue restent ouvertes pour la présidentielle », a-t-il poursuivi.
Hassan Nasrallah a également estimé que « le gouvernement d’expédition des affaires courantes doit continuer son travail dans les limites de la Constitution malgré toutes les difficultés ». Cependant, ce gouvernement « n'a pas la prérogative de désigner un gouverneur de la Banque centrale », a-t-il précisé, appelant les Libanais à profiter du climat de détente qui règne dans la région.
Dans une première partie consacrée aux affrontements palestino-israéliens à Gaza, le chef du Hezbollah a indiqué que sa formation est « en contact permanent avec la direction de la résistance à Gaza », ajoutant : « nous n'hésiterons pas à apporter une aide à tout moment si cela est nécessaire ».
Il a déploré dans ce cadre « le silence de la communauté internationale face à cette agression contre Gaza », soulignant qu’elle a été initiée par le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu « dans le but d'assassiner les dirigeants des Brigades Al-Qods, d'échapper à la division interne et de remédier à la fissure du gouvernement."
Dans un discours à l’occasion de la commémoration annuelle de l’assassinat en 2016 à Damas de Moustapha Badreddine, haut-responsable de la formation, il a estimé que la réintégration de Damas au sein de la Ligue arabe, tout comme l’invitation du président Bachar al-Assad à participer au sommet de la Ligue, « constitue un signal très important ».
Il a dans ce cadre démenti que le Hezbollah occupe les habitations de ressortissants syriens et empêche le retour des réfugiés dans leurs villages. Il a également nié toute implication de sa formation dans la fabrication et le trafic de Captagon, affirmant qu’au contraire, « sans l’aide du Hezbollah, les autorités libanaises n’auraient pas réussi à arrêter les trafiquants de drogue ».
Concernant l’élection présidentielle au Liban, Hassan Nasrallah a déclaré que « les développements récents sont positifs », ajoutant: «L’ancien ministre Sleiman Frangié est un candidat naturel et sérieux qui a failli être élu auparavant ». Il a démenti que la formation pro-iranienne essaye « d’imposer » M. Frangié, précisant que « le droit naturel de chaque partie est d’appuyer un candidat, et le choix se fait par un vote au Parlement ». « Les portes du dialogue restent ouvertes pour la présidentielle », a-t-il poursuivi.
Hassan Nasrallah a également estimé que « le gouvernement d’expédition des affaires courantes doit continuer son travail dans les limites de la Constitution malgré toutes les difficultés ». Cependant, ce gouvernement « n'a pas la prérogative de désigner un gouverneur de la Banque centrale », a-t-il précisé, appelant les Libanais à profiter du climat de détente qui règne dans la région.
Dans une première partie consacrée aux affrontements palestino-israéliens à Gaza, le chef du Hezbollah a indiqué que sa formation est « en contact permanent avec la direction de la résistance à Gaza », ajoutant : « nous n'hésiterons pas à apporter une aide à tout moment si cela est nécessaire ».
Il a déploré dans ce cadre « le silence de la communauté internationale face à cette agression contre Gaza », soulignant qu’elle a été initiée par le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu « dans le but d'assassiner les dirigeants des Brigades Al-Qods, d'échapper à la division interne et de remédier à la fissure du gouvernement."
Lire aussi
Commentaires