Malgré les efforts de médiations internationaux, de nouveaux échanges de tirs entre Israël et la bande de Gaza se sont produits vendredi. Médiateur traditionnel, l'Égypte multiplie les contacts pour obtenir une trêve.
Israël et des groupes armés à Gaza ont de nouveau échangé des tirs de missiles et de roquettes vendredi, malgré des efforts de médiation visant à mettre fin à cette flambée de violence qui a fait 32 morts depuis mardi.
L'Égypte, médiateur traditionnel entre les belligérants, s'active pour obtenir une trêve, au moment où les appels internationaux se multiplient pour que cesse cette escalade, la plus grave depuis août 2022 entre mouvements armés à Gaza et Israël.
Un chef militaire de l'organisation palestinienne Jihad islamique a été tué vendredi dans une frappe israélienne sur la bande de Gaza, a annoncé à l'AFP un porte-parole du mouvement, au quatrième jour d'une escalade de violence avec Israël.
Iyad al-Hassani, un responsable au sein de la branche armée du Jihad islamique, a été tué dans une frappe sur une zone habitée du centre de Gaza, a indiqué ce porte-parole. D'après un dernier bilan du ministère de la Santé dans le territoire palestinien, 33 personnes y sont mortes depuis mardi. Une personne a péri en Israël.
Les violences ont commencé mardi par des frappes israéliennes visant le Jihad islamique, un groupe palestinien classé "organisation terroriste" par Israël, l'Union européenne et les États-Unis.
Mohammed al-Hindi, responsable du département politique du Jihad islamique, arrivé jeudi au Caire, a dit espérer que les discussions en vue d'une trêve "s'achèvent aujourd'hui (vendredi)".
"Nous espérons obtenir un accord honorable qui reflète les intérêts de notre peuple et de la résistance", a-t-il déclaré à l'AFP.
Mais après une pause relative dans la nuit, des roquettes ont de nouveau été tirées vers le sol israélien, selon des journalistes de l'AFP à Gaza. L'armée a de son côté indiqué avoir visé des sites appartenant au Jihad islamique.
Dans les localités israéliennes adjacentes à la bande de Gaza, les sirènes d'alerte se sont une nouvelle fois déclenchées.
Elles ont également retenti à une quinzaine de km de Jérusalem, dans des colonies israéliennes de Cisjordanie, territoire palestinien occupé par Israël depuis 1967, a constaté un journaliste de l'AFP.
Marie de La Roche Saint-André, avec AFP
Israël et des groupes armés à Gaza ont de nouveau échangé des tirs de missiles et de roquettes vendredi, malgré des efforts de médiation visant à mettre fin à cette flambée de violence qui a fait 32 morts depuis mardi.
L'Égypte, médiateur traditionnel entre les belligérants, s'active pour obtenir une trêve, au moment où les appels internationaux se multiplient pour que cesse cette escalade, la plus grave depuis août 2022 entre mouvements armés à Gaza et Israël.
Un chef militaire de l'organisation palestinienne Jihad islamique a été tué vendredi dans une frappe israélienne sur la bande de Gaza, a annoncé à l'AFP un porte-parole du mouvement, au quatrième jour d'une escalade de violence avec Israël.
Iyad al-Hassani, un responsable au sein de la branche armée du Jihad islamique, a été tué dans une frappe sur une zone habitée du centre de Gaza, a indiqué ce porte-parole. D'après un dernier bilan du ministère de la Santé dans le territoire palestinien, 33 personnes y sont mortes depuis mardi. Une personne a péri en Israël.
Les violences ont commencé mardi par des frappes israéliennes visant le Jihad islamique, un groupe palestinien classé "organisation terroriste" par Israël, l'Union européenne et les États-Unis.
Mohammed al-Hindi, responsable du département politique du Jihad islamique, arrivé jeudi au Caire, a dit espérer que les discussions en vue d'une trêve "s'achèvent aujourd'hui (vendredi)".
"Nous espérons obtenir un accord honorable qui reflète les intérêts de notre peuple et de la résistance", a-t-il déclaré à l'AFP.
Mais après une pause relative dans la nuit, des roquettes ont de nouveau été tirées vers le sol israélien, selon des journalistes de l'AFP à Gaza. L'armée a de son côté indiqué avoir visé des sites appartenant au Jihad islamique.
Dans les localités israéliennes adjacentes à la bande de Gaza, les sirènes d'alerte se sont une nouvelle fois déclenchées.
Elles ont également retenti à une quinzaine de km de Jérusalem, dans des colonies israéliennes de Cisjordanie, territoire palestinien occupé par Israël depuis 1967, a constaté un journaliste de l'AFP.
Marie de La Roche Saint-André, avec AFP
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