Membre du Bloc de la Rencontre démocratique que préside Taymour Joumblatt, le député Ragy el-Saad, a plaidé pour une entente autour d’un candidat à la tête de l’État.
Au cours d’une interview sur le plateau de la MTV, dans le cadre de l’émission Sar el-Wa’t, il a assuré que son groupe parlementaire ne bloquera aucune échéance constitutionnelle et prendra donc part à toute séance électorale qui sera convoquée par le président de la Chambre Nabih Berry.
Au sujet de la crise financière, M. Saad a affirmé que "des individus ont comploté à l’intérieur et d’autres à l’extérieur pour pousser le Liban vers un défaut de paiement" en mars 2020, sous le gouvernement de Hassane Diab.
Le député a en outre critiqué l’absence totale d’initiatives de la part du gouvernement dans le domaine des réformes, trois ans après le début d’une crise existentielle au Liban. Il a reproché au cabinet d’envoyer des textes de loi disparates au Parlement, sans chiffres précis.
M. el-Saad a mis en garde également contre le plan de sortie de crise que les autorités libanaises avaient soumis au Fonds monétaire international dans la mesure où il donne quitus, selon lui, aux gouvernements successifs au détriment des déposants.
Au cours d’une interview sur le plateau de la MTV, dans le cadre de l’émission Sar el-Wa’t, il a assuré que son groupe parlementaire ne bloquera aucune échéance constitutionnelle et prendra donc part à toute séance électorale qui sera convoquée par le président de la Chambre Nabih Berry.
Au sujet de la crise financière, M. Saad a affirmé que "des individus ont comploté à l’intérieur et d’autres à l’extérieur pour pousser le Liban vers un défaut de paiement" en mars 2020, sous le gouvernement de Hassane Diab.
Le député a en outre critiqué l’absence totale d’initiatives de la part du gouvernement dans le domaine des réformes, trois ans après le début d’une crise existentielle au Liban. Il a reproché au cabinet d’envoyer des textes de loi disparates au Parlement, sans chiffres précis.
M. el-Saad a mis en garde également contre le plan de sortie de crise que les autorités libanaises avaient soumis au Fonds monétaire international dans la mesure où il donne quitus, selon lui, aux gouvernements successifs au détriment des déposants.
Lire aussi
Commentaires