©Crédit photo : Loic Venance / AFP
Sur la célèbre promenade de la Croisette, la série The Idol accapare les projecteurs. Les éloges jaillissent de toutes parts pour Abel Tesfaye et Lily-Rose Depp. Ce lundi 22 mai 2023, le petit écran a su revendiquer sa place sur le tapis rouge.
C'est seulement en juin que sera dévoilée la trame narrative de Jocelyn, incarnée par l'envoûtante Lily-Rose Depp. L'histoire plonge dans la vie d'une popstar en quête de rédemption artistique, cherchant à réémerger des cendres de son retrait auto-imposé, succédant à la mort tragique de sa mère. En chemin, elle croise la route du mystérieux Tedros, interprété par le magnétique Abel Tesfaye, qui va instiller un chaos ordonné dans son parcours déjà chaotique.
Crédit photo : Valery Hache / AFP
The Idol, avec sa genèse tumultueuse et son contenu provocant, est une série audacieuse qui promet de faire des vagues. Totalisant six épisodes, la série déploie rapidement une palette de couleurs sensuelles: scènes de nudité assumées, cliché intime de Joss qui fait le tour du web, scènes de plaisir solitaire délibérément explicites... Il serait néanmoins réducteur de cantonner cette œuvre à ces moments épicés. La série a l'audace de jeter un regard ironique sur son époque, se gausse d'un «coordinateur d'intimité» qui s'évertue à harmoniser les clauses d'image rigoureuses de la chanteuse et son désir de contrôler son propre corps, tout en dénonçant le formatage stérile de la production musicale contemporaine. Les clins d'œil à diverses célébrités de notre ère sont également notables.
«Lorsque tu es célèbre, tout le monde te ment»: cette affirmation émane de Jocelyn qui, perplexe face au titre destiné à catapulter son retour, se trouve rapidement enchevêtrée dans le filet de manipulation ourdi par Tedros, en dépit des mises en garde de sa fidèle amie et assistante. Plus généralement, les personnages secondaires sont nuancés et introduisent souvent une pointe d'humour bienvenue au sein du récit.
C'est seulement en juin que sera dévoilée la trame narrative de Jocelyn, incarnée par l'envoûtante Lily-Rose Depp. L'histoire plonge dans la vie d'une popstar en quête de rédemption artistique, cherchant à réémerger des cendres de son retrait auto-imposé, succédant à la mort tragique de sa mère. En chemin, elle croise la route du mystérieux Tedros, interprété par le magnétique Abel Tesfaye, qui va instiller un chaos ordonné dans son parcours déjà chaotique.
Crédit photo : Valery Hache / AFP
The Idol, avec sa genèse tumultueuse et son contenu provocant, est une série audacieuse qui promet de faire des vagues. Totalisant six épisodes, la série déploie rapidement une palette de couleurs sensuelles: scènes de nudité assumées, cliché intime de Joss qui fait le tour du web, scènes de plaisir solitaire délibérément explicites... Il serait néanmoins réducteur de cantonner cette œuvre à ces moments épicés. La série a l'audace de jeter un regard ironique sur son époque, se gausse d'un «coordinateur d'intimité» qui s'évertue à harmoniser les clauses d'image rigoureuses de la chanteuse et son désir de contrôler son propre corps, tout en dénonçant le formatage stérile de la production musicale contemporaine. Les clins d'œil à diverses célébrités de notre ère sont également notables.
«Lorsque tu es célèbre, tout le monde te ment»: cette affirmation émane de Jocelyn qui, perplexe face au titre destiné à catapulter son retour, se trouve rapidement enchevêtrée dans le filet de manipulation ourdi par Tedros, en dépit des mises en garde de sa fidèle amie et assistante. Plus généralement, les personnages secondaires sont nuancés et introduisent souvent une pointe d'humour bienvenue au sein du récit.
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