Le vice-président du Parlement a déclaré mercredi que les efforts menés pour débloquer la présidentielle n'ont pas abouti mais que les canaux de communication sont toujours ouverts entre l'opposition et le Courant patriotique libre. « Il est de ma responsabilité en tant que vice-président du Parlement de communiquer avec les autres députés et d’agir », a-t-il affirmé.
Dans une interview à la LBCI, M. Bou Saab a souligné qu’il ne fallait pas sous-estimer la stabilité dans la région résultant de l’accord irano-saoudien, ce qui l'a amené à lancer son initiative pour pousser les blocs parlementaires à saisir le momentum.
« Je n’ai pas démissionné du bloc de Liban Fort (bloc du CPL) et je communique avec toutes les factions pour dégager des points communs pouvant favoriser l'élection d'un chef de l'État. La solution réside dans la communication collective » a poursuivi M. Bou Saab.
Commentant les propos du député Alain Aoun qui avait annoncé notamment annoncé l'échec de l'option Jihad Azour (ancien ministre des Finances) comme candidat consensuel potentiel, le vice-président de la Chambre a indiqué qu'ils ne sont pas contradictoires avec le positionnement du conseil politique du CPL. Il a ajouté que M. Aoun ne s’est pas concerté avec le Hezbollah avant de tenir ces propos.
Selon lui, le chef du CPL, Gebran Bassil, ne veut pas d’un candidat de confrontation, en allusion au chef des Marada, Sleiman Frangié. Il a aussi fait remarquer que les partis chrétiens se sont mis d’accord pour empêcher l’arrivée de Sleiman Frangié à la magistrature suprême sans se mettre d’accord sur une alternative.
M. Bou Saab a assuré qu'au cas où les membres du bloc du Liban Fort n’arriveraient pas à s’entendre sur une candidature, ils seront prêts à choisir un nom agrée par l’opposition et leur bloc. « Le candidat du nôtre ne doit pas être provocateur. Il existe une liste issue de Bkerké portant le nom du député Ibrahim Kanaan, ce n’est plus un secret » a-t-il ajouté.
Dans une interview à la LBCI, M. Bou Saab a souligné qu’il ne fallait pas sous-estimer la stabilité dans la région résultant de l’accord irano-saoudien, ce qui l'a amené à lancer son initiative pour pousser les blocs parlementaires à saisir le momentum.
« Je n’ai pas démissionné du bloc de Liban Fort (bloc du CPL) et je communique avec toutes les factions pour dégager des points communs pouvant favoriser l'élection d'un chef de l'État. La solution réside dans la communication collective » a poursuivi M. Bou Saab.
Commentant les propos du député Alain Aoun qui avait annoncé notamment annoncé l'échec de l'option Jihad Azour (ancien ministre des Finances) comme candidat consensuel potentiel, le vice-président de la Chambre a indiqué qu'ils ne sont pas contradictoires avec le positionnement du conseil politique du CPL. Il a ajouté que M. Aoun ne s’est pas concerté avec le Hezbollah avant de tenir ces propos.
Selon lui, le chef du CPL, Gebran Bassil, ne veut pas d’un candidat de confrontation, en allusion au chef des Marada, Sleiman Frangié. Il a aussi fait remarquer que les partis chrétiens se sont mis d’accord pour empêcher l’arrivée de Sleiman Frangié à la magistrature suprême sans se mettre d’accord sur une alternative.
M. Bou Saab a assuré qu'au cas où les membres du bloc du Liban Fort n’arriveraient pas à s’entendre sur une candidature, ils seront prêts à choisir un nom agrée par l’opposition et leur bloc. « Le candidat du nôtre ne doit pas être provocateur. Il existe une liste issue de Bkerké portant le nom du député Ibrahim Kanaan, ce n’est plus un secret » a-t-il ajouté.
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