Le Premier ministre sortant Najib Mikati a rencontré le secrétaire général de la Commission spéciale d'enquête chargée de la mise en œuvre de la loi de lutte contre le blanchiment et le financement du terrorisme (LBCFT), Abdel Hafez Mansour, lundi matin au Grand Sérail. Ce dernier l’a informé des résultats des réunions des groupes de travail de la trente-sixième assemblée générale du Groupe d'action financière (GAFI) du Moyen-Orient et de l'Afrique du Nord (MENAFATF) qui se sont tenues à Bahreïn.
“L’objectif de l’entretien est de clarifier le processus d'évaluation de l'engagement du Liban en matière de lutte contre le blanchiment d'argent et de lutte contre le terrorisme”, a révélé M. Mansour à l’issue de l’entrevue avec M. Mikati. Il a réitéré qu’il s’agit de procédures normales appliquées dans tous les pays du monde.
“Il faut attendre la publication du rapport le mois prochain, avant cela, je ne pense pas que nous puissions parler de procédures liées aux listes et de ce qui en découle. Le Liban a été représenté lors des discussions par une équipe très professionnelle. Cela a été très apprécié”, a-t-il précisé.
Une déclaration sera publiée pour clarifier des aspects du rapport, qui peuvent inclure certaines lacunes que le Liban doit combler mais aussi des points forts.
Rappelons dans ce cadre que, la semaine dernière, des informations contradictoires ont circulé dans la presse concernant un replacement du Liban sur la liste grise du GAFI. Vendredi, la Commission spéciale d’enquête, cellule de renseignement financier du Liban relevant de la Banque du Liban, a publié un communiqué dans lequel elle a mis les points sur les " i" .
Ce rapport qui devra être publié dans quelques semaines, "identifiera les lacunes à combler, ainsi que les aspects positifs du régime de LBCFT". Par conséquent, précise encore le texte, le pays devra prendre "des mesures correctives pour combler les lacunes identifiées, à condition qu’il soumette au Groupe d’action financière sur le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord (MENAFATF) un rapport de suivi au cours de l’année 2024".
“L’objectif de l’entretien est de clarifier le processus d'évaluation de l'engagement du Liban en matière de lutte contre le blanchiment d'argent et de lutte contre le terrorisme”, a révélé M. Mansour à l’issue de l’entrevue avec M. Mikati. Il a réitéré qu’il s’agit de procédures normales appliquées dans tous les pays du monde.
“Il faut attendre la publication du rapport le mois prochain, avant cela, je ne pense pas que nous puissions parler de procédures liées aux listes et de ce qui en découle. Le Liban a été représenté lors des discussions par une équipe très professionnelle. Cela a été très apprécié”, a-t-il précisé.
Une déclaration sera publiée pour clarifier des aspects du rapport, qui peuvent inclure certaines lacunes que le Liban doit combler mais aussi des points forts.
Rappelons dans ce cadre que, la semaine dernière, des informations contradictoires ont circulé dans la presse concernant un replacement du Liban sur la liste grise du GAFI. Vendredi, la Commission spéciale d’enquête, cellule de renseignement financier du Liban relevant de la Banque du Liban, a publié un communiqué dans lequel elle a mis les points sur les " i" .
Ce rapport qui devra être publié dans quelques semaines, "identifiera les lacunes à combler, ainsi que les aspects positifs du régime de LBCFT". Par conséquent, précise encore le texte, le pays devra prendre "des mesures correctives pour combler les lacunes identifiées, à condition qu’il soumette au Groupe d’action financière sur le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord (MENAFATF) un rapport de suivi au cours de l’année 2024".
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