Le bureau régional de l’Unesco à Beyrouth a lancé mardi, en collaboration avec la Fondation Anna Lindh, le Cadre de l’Unesco pour faciliter le dialogue interculturel, établi en partenariat avec l’Institut pour l’économie et la paix.
Comprenant des données recueillies de plus de 160 pays, ce cadre constitue un guide sur les meilleurs moyens pour améliorer les structures, les valeurs et les processus susceptibles de faciliter le dialogue interculturel.
Ce cadre est d’autant plus important que, selon les données de l’Unesco, «99% des conflits dans la région surviennent dans des pays où le dialogue est bloqué». Toujours selon l’Unesco, la région MENA connaît le taux de chômage le plus élevé parmi les jeunes: 27%. De plus, 23% des femmes sont au chômage. Ces chiffres sont trois fois supérieurs à la moyenne mondiale.
D’après l’Unesco, dans la région MENA, 10% de la population des pays où le dialogue est bloqué vivent dans une extrême pauvreté. Dans ces pays, l’égalité des genres reste un défi permanent.
Comprenant des données recueillies de plus de 160 pays, ce cadre constitue un guide sur les meilleurs moyens pour améliorer les structures, les valeurs et les processus susceptibles de faciliter le dialogue interculturel.
Ce cadre est d’autant plus important que, selon les données de l’Unesco, «99% des conflits dans la région surviennent dans des pays où le dialogue est bloqué». Toujours selon l’Unesco, la région MENA connaît le taux de chômage le plus élevé parmi les jeunes: 27%. De plus, 23% des femmes sont au chômage. Ces chiffres sont trois fois supérieurs à la moyenne mondiale.
D’après l’Unesco, dans la région MENA, 10% de la population des pays où le dialogue est bloqué vivent dans une extrême pauvreté. Dans ces pays, l’égalité des genres reste un défi permanent.
Lire aussi
Commentaires