Le patriarche maronite, le cardinal Béchara Raï, a été reçu mardi soir par le président français Emmanuel Macron, qui a soutenu les «efforts» déployés par le chef de l’Église maronite face à «l’impasse politique» et appelé les forces politiques du Liban à en sortir «sans délai».
La rencontre, «effectuée à la demande du patriarche», a duré plus d’une heure et les discussions entre les deux hommes doivent encore se poursuivre, selon une source épiscopale. Le patriarche devrait, selon la même source, faire part à M. Macron de la position des deux plus grands partis chrétiens qui s’opposent au candidat du tandem chiite Amal-Hezbollah, Sleiman Frangié. Ce dernier bénéficie du soutien de la France. Mgr Raï devrait, souligne-t-on dans les mêmes milieux, proposer des noms de candidats qui seraient acceptés par les différentes parties libanaises.
D’après un communiqué de l’Élysée, M. Macron et Mgr Raï «ont partagé leurs vives préoccupations face à la crise» et à «la paralysie des institutions, alimentée par la vacance présidentielle depuis plus de sept mois». «Ils se sont accordés sur la nécessité qu’un président de la République soit élu sans délai», a-t-on ajouté à Paris.
Emmanuel Macron a notamment évoqué «la nécessité» que les chrétiens du Liban «demeurent au centre de l’équilibre confessionnel et institutionnel de l’État libanais».
Venant du Vatican où il avait rencontré lundi le secrétaire d’État, le cardinal Pietro Parolin, le chef de l’Église maronite a abordé durant sa rencontre à l’Elysée «les moyens de rapprocher les avis», a-t-on précisé dans son entourage.
Selon la présidence française, Emmanuel Macron a souligné que «le blocage» faisait «obstacle» aux réformes «sans lesquelles il ne peut y avoir de redressement et de stabilité durable du Liban».
«Le président de la République a marqué son soutien aux efforts continus du patriarche Raï et appelé à des efforts conjoints de toutes les forces politiques pour sortir de l’impasse politique actuelle sans délai», ont ajouté ses services.
La rencontre, «effectuée à la demande du patriarche», a duré plus d’une heure et les discussions entre les deux hommes doivent encore se poursuivre, selon une source épiscopale. Le patriarche devrait, selon la même source, faire part à M. Macron de la position des deux plus grands partis chrétiens qui s’opposent au candidat du tandem chiite Amal-Hezbollah, Sleiman Frangié. Ce dernier bénéficie du soutien de la France. Mgr Raï devrait, souligne-t-on dans les mêmes milieux, proposer des noms de candidats qui seraient acceptés par les différentes parties libanaises.
D’après un communiqué de l’Élysée, M. Macron et Mgr Raï «ont partagé leurs vives préoccupations face à la crise» et à «la paralysie des institutions, alimentée par la vacance présidentielle depuis plus de sept mois». «Ils se sont accordés sur la nécessité qu’un président de la République soit élu sans délai», a-t-on ajouté à Paris.
Emmanuel Macron a notamment évoqué «la nécessité» que les chrétiens du Liban «demeurent au centre de l’équilibre confessionnel et institutionnel de l’État libanais».
Venant du Vatican où il avait rencontré lundi le secrétaire d’État, le cardinal Pietro Parolin, le chef de l’Église maronite a abordé durant sa rencontre à l’Elysée «les moyens de rapprocher les avis», a-t-on précisé dans son entourage.
Selon la présidence française, Emmanuel Macron a souligné que «le blocage» faisait «obstacle» aux réformes «sans lesquelles il ne peut y avoir de redressement et de stabilité durable du Liban».
«Le président de la République a marqué son soutien aux efforts continus du patriarche Raï et appelé à des efforts conjoints de toutes les forces politiques pour sortir de l’impasse politique actuelle sans délai», ont ajouté ses services.
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