Après l'échec d'une énième trêve au Soudan, Washigton, qui était au coeur des négociations de ce dernier cessez-le feu, envisage désormais de prendre des mesures contre les dirigeants soudanais.
Les Etats-Unis vont imposer des sanctions économiques et des restrictions de visas "contre les acteurs qui entretiennent la violence" au Soudan, où une vingtaine de civils ont été tués dans des bombardements sur un marché de Khartoum, dernier épisode meurtrier d'une guerre qui ne semble pas connaître de répit.
Lundi soir, l'armée du général Abdel Fattah al-Burhane et les paramilitaires des Forces de soutien rapide (FSR) du général Mohamed Hamdane Daglo avaient pourtant accepté une nouvelle trêve. Mais, après une dizaine de cessez-le-feu violés, celui-ci n'a également pas fait long feu.
Les violences dans le pays sont une "tragédie" qui "doit cesser", a estimé dans un communiqué Jake Sullivan, conseiller à la sécurité nationale de Joe Biden, sans donner davantage de détails sur les sanctions.
Ryad et Washington se sont également dit prêts à reprendre les discussions avec les dirigeants rivaux du Soudan - en conflit depuis le 15 avril - seulement si les parties montrent "clairement par leurs actions qu'elles veulent.
Maïssa Ben Fares, avec AFP
Les Etats-Unis vont imposer des sanctions économiques et des restrictions de visas "contre les acteurs qui entretiennent la violence" au Soudan, où une vingtaine de civils ont été tués dans des bombardements sur un marché de Khartoum, dernier épisode meurtrier d'une guerre qui ne semble pas connaître de répit.
Lundi soir, l'armée du général Abdel Fattah al-Burhane et les paramilitaires des Forces de soutien rapide (FSR) du général Mohamed Hamdane Daglo avaient pourtant accepté une nouvelle trêve. Mais, après une dizaine de cessez-le-feu violés, celui-ci n'a également pas fait long feu.
Les violences dans le pays sont une "tragédie" qui "doit cesser", a estimé dans un communiqué Jake Sullivan, conseiller à la sécurité nationale de Joe Biden, sans donner davantage de détails sur les sanctions.
Ryad et Washington se sont également dit prêts à reprendre les discussions avec les dirigeants rivaux du Soudan - en conflit depuis le 15 avril - seulement si les parties montrent "clairement par leurs actions qu'elles veulent.
Maïssa Ben Fares, avec AFP
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