Les Libanais et les étrangers qui ont atterri en fin d'après-midi à Beyrouth ont eu la très mauvaise surprise de constater qu’ils ne peuvent ni se rendre chez eux ni atteindre leurs hôtels.
Des pneus brûlés bloquaient la voie qui mène vers la capitale, au niveau de Tahwitet el-Ghadir, à l'entrée de la banlieue sud. La cause de ce mouvement de protestation : l’arrestation, en Arabie saoudite, d’un certain Haydar Slim. Une centaine de personnes étaient rassemblées dans le secteur, pour exprimer leur mécontentement.
Pour rejoindre les taxis ou leurs proches venus les accompagner, des passagers ont dû marcher jusqu’à Tahwitet el-Ghadir où le mouvement de protestation était organisé, rapporte notre correspondant sur place, Elie Ziadé.
L’armée était en fin d’après-midi en pourparlers avec les protestataires pour les convaincre de rouvrir. Elle devait réussir près d'une heure plus tard, à dégager la voie.
Des pneus brûlés bloquaient la voie qui mène vers la capitale, au niveau de Tahwitet el-Ghadir, à l'entrée de la banlieue sud. La cause de ce mouvement de protestation : l’arrestation, en Arabie saoudite, d’un certain Haydar Slim. Une centaine de personnes étaient rassemblées dans le secteur, pour exprimer leur mécontentement.
Pour rejoindre les taxis ou leurs proches venus les accompagner, des passagers ont dû marcher jusqu’à Tahwitet el-Ghadir où le mouvement de protestation était organisé, rapporte notre correspondant sur place, Elie Ziadé.
L’armée était en fin d’après-midi en pourparlers avec les protestataires pour les convaincre de rouvrir. Elle devait réussir près d'une heure plus tard, à dégager la voie.
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