Le groupe parlementaire la Rencontre démocratique (bloc Joumblatt) a décidé jeudi de soutenir la candidature de Jihad Azour, ancien ministre des Finances et directeur du département Moyen-Orient et Asie centrale au Fonds monétaire international.
«Le chef du Parti socialiste progressiste Walid Joumblatt a été le premier à avancer la candidature de Jihad Azour à la présidence», a rappelé la Rencontre démocratique, à l’issue d’une réunion tenue jeudi. Son nom figurait parmi plusieurs autres proposés par Walid Joumblatt aux différentes parties politiques sur base de «l’entente» afin de sortir de la «logique de confrontation», rapporte le communiqué.
Le bloc joumblattiste a affirmé que le fait de soutenir la candidature de Jihad Azour ne signifie en aucun cas qu’il s’aligne sur un axe quelconque. Réitérant son attachement au dialogue pour aboutir à une entente, la Rencontre démocratique s’est dit étonnée que certaines parties, en allusion au tandem Amal-Hezbollah, considère Jihad Azour comme un «candidat de confrontation».
Et la Rencontre démocratique de conclure en affirmant que «cette échéance est la porte d’entrée pour la reconstruction des institutions de l’État et entamer le processus de réformes et de sauvetage».
«Le chef du Parti socialiste progressiste Walid Joumblatt a été le premier à avancer la candidature de Jihad Azour à la présidence», a rappelé la Rencontre démocratique, à l’issue d’une réunion tenue jeudi. Son nom figurait parmi plusieurs autres proposés par Walid Joumblatt aux différentes parties politiques sur base de «l’entente» afin de sortir de la «logique de confrontation», rapporte le communiqué.
Le bloc joumblattiste a affirmé que le fait de soutenir la candidature de Jihad Azour ne signifie en aucun cas qu’il s’aligne sur un axe quelconque. Réitérant son attachement au dialogue pour aboutir à une entente, la Rencontre démocratique s’est dit étonnée que certaines parties, en allusion au tandem Amal-Hezbollah, considère Jihad Azour comme un «candidat de confrontation».
Et la Rencontre démocratique de conclure en affirmant que «cette échéance est la porte d’entrée pour la reconstruction des institutions de l’État et entamer le processus de réformes et de sauvetage».
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