Le député Ihab Matar (indépendant-Tripoli) a annoncé sur son compte Twitter, que c’est lui qui a voté pour le commandant en chef de l’armée, le général Joseph Aoun.
Ce dernier a obtenu une voix durant la douzième séance parlementaire électorale qui, comme les précédentes, depuis octobre 2022, n’a pas débouché sur l’élection d’un président de la République.
« J’ai voté pour le général Joseph Aoun en raison de ce que l’armée représente, en tant qu’institution fédératrice et pour exprimer mon opposition au clivage entre les deux fronts », le tandem Amal-Hezbollah et la coalition parlementaire constituée autour de l’opposition, a-t-il écrit, précisant qu’il n’est pas pour le vote blanc non plus.
« L’élection d’un président doit se dérouler au cours d’une séance constitutionnelle, sur base d’une entente et d’un dialogue, après un débat avec les candidats, pour dissiper les appréhensions liées aux six années d’un mandat funeste », a-t-il dit, en allusion au mandat du fondateur du Courant patriotique libre (CPL), le général Joseph Aoun.
Aussi, a-t-il jugé nécessaire de connaître les positions des candidats, notamment pour ce qui a trait à leur vision des rapports avec la présidence du Conseil. M. Matar a mis l’accent dans ce cadre sur « l’importance de garanties fournies par les candidats, pour que la formation de gouvernements ne soit pas bloquée ou que la Constitution ne soit pas foulée au pied, lors de la mise en place du Cabinet ou à travers le retour à des hérésies visant à empêcher le gouvernement de travailler, alors qu’il est responsable de la gestion des pays ».
Ce dernier a obtenu une voix durant la douzième séance parlementaire électorale qui, comme les précédentes, depuis octobre 2022, n’a pas débouché sur l’élection d’un président de la République.
« J’ai voté pour le général Joseph Aoun en raison de ce que l’armée représente, en tant qu’institution fédératrice et pour exprimer mon opposition au clivage entre les deux fronts », le tandem Amal-Hezbollah et la coalition parlementaire constituée autour de l’opposition, a-t-il écrit, précisant qu’il n’est pas pour le vote blanc non plus.
« L’élection d’un président doit se dérouler au cours d’une séance constitutionnelle, sur base d’une entente et d’un dialogue, après un débat avec les candidats, pour dissiper les appréhensions liées aux six années d’un mandat funeste », a-t-il dit, en allusion au mandat du fondateur du Courant patriotique libre (CPL), le général Joseph Aoun.
Aussi, a-t-il jugé nécessaire de connaître les positions des candidats, notamment pour ce qui a trait à leur vision des rapports avec la présidence du Conseil. M. Matar a mis l’accent dans ce cadre sur « l’importance de garanties fournies par les candidats, pour que la formation de gouvernements ne soit pas bloquée ou que la Constitution ne soit pas foulée au pied, lors de la mise en place du Cabinet ou à travers le retour à des hérésies visant à empêcher le gouvernement de travailler, alors qu’il est responsable de la gestion des pays ».
Lire aussi
Commentaires