Les taxis volants électriques seront "au rendez-vous" des Jeux olympiques et paralympiques de Paris l'année prochaine, ont assuré mardi leurs promoteurs, alors que ces appareils novateurs ne sont pas encore autorisés à transporter des voyageurs.
Le groupe Aéroports de Paris (ADP) et ses partenaires dans ce projet, le constructeur allemand Volocopter et la région Ile-de-France, effectuent depuis 2021 à l'aéroport de Pontoise-Cormeilles-en-Vexin (Val-d'Oise, nord de Paris) des campagnes d'essai des appareils "VoloCity".
Les trois routes des futurs taxis volants relieront l'aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle à celui du Bourget, ainsi que l'héliport d'Issy-les-Moulineaux respectivement à l'aérodrome de Saint-Cyr-l'Ecole près de Versailles, et à Austerlitz dans le sud-est de Paris, où les appareils atterriront et décolleront d'un "vertiport" installé sur une barge amarrée à un quai de la Seine.
De son côté, la présidente de l'Ile-de-France, Valérie Pécresse, a indiqué que la région allait "s'engager à la hauteur d'un million d'euros" pour financer la construction de cette barge.
Ces appareils électriques vont devoir s'intégrer à la fois dans le trafic aérien et l'environnement urbain.
Les engins "VoloCity", à l'allure de gros insectes couronnés, pour leurs modèles biplaces, par 18 rotors, s'avèrent quatre fois moins bruyants que les hélicoptères, selon Volocopter.
Avec AFP
Le groupe Aéroports de Paris (ADP) et ses partenaires dans ce projet, le constructeur allemand Volocopter et la région Ile-de-France, effectuent depuis 2021 à l'aéroport de Pontoise-Cormeilles-en-Vexin (Val-d'Oise, nord de Paris) des campagnes d'essai des appareils "VoloCity".
Les trois routes des futurs taxis volants relieront l'aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle à celui du Bourget, ainsi que l'héliport d'Issy-les-Moulineaux respectivement à l'aérodrome de Saint-Cyr-l'Ecole près de Versailles, et à Austerlitz dans le sud-est de Paris, où les appareils atterriront et décolleront d'un "vertiport" installé sur une barge amarrée à un quai de la Seine.
De son côté, la présidente de l'Ile-de-France, Valérie Pécresse, a indiqué que la région allait "s'engager à la hauteur d'un million d'euros" pour financer la construction de cette barge.
Ces appareils électriques vont devoir s'intégrer à la fois dans le trafic aérien et l'environnement urbain.
Les engins "VoloCity", à l'allure de gros insectes couronnés, pour leurs modèles biplaces, par 18 rotors, s'avèrent quatre fois moins bruyants que les hélicoptères, selon Volocopter.
Avec AFP
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