©Image non datée du submersible Titan d'OceanGate Expedition remorqué vers un site de plongée à Everett, dans l'État de Washington.(Photo d'archive / OceanGate Expeditions / AFP)
L'entreprise OceanGate a annoncé la mort des cinq passagers du sous-marin Titan disparu près du Titanic, jeudi 22 juin. Les garde-côtes américains ont quant à eux annoncé que le submersible avait implosé, après avoir retrouvé un champ de débris non loin de l'ancien paquebot.
Les cinq passagers du submersible recherché depuis dimanche dans l'Atlantique nord, près de l'épave du Titanic sont morts, a annoncé l'entreprise dans un communiqué jeudi.
Les garde-côtes américains ont de leur côté assuré que les débris du submersible retrouvés montraient que l'engin a subi une "implosion catastrophique".
Ils avaient annoncé précédemment sur Twitter qu'un "champ de débris" avait été localisé "dans la zone de recherche par un ROV (Remotely Operated Vehicle, soit engin téléguidé, ndlr) près du Titanic", le célébrissime paquebot de croisière qui avait sombré il y a 111 ans au large des Etats-Unis et du Canada.
Les secouristes avaient évalué à 11:08 GMT ce jeudi l'heure à laquelle les passagers pourraient se trouver à court d'oxygène à bord du Titan, petit explorateur en eaux profondes de l'entreprise privée américaine OceanGate Expeditions. Porté disparu depuis dimanche, l'engin disposait d'une autonomie théorique de 96 heures en plongée.
L'annonce mercredi de la détection de bruits sous l'eau par des avions P-3 canadiens a suscité de l'espoir et orienté l'armada multinationale de sauveteurs dépêchés sur place, sans que l'origine des bruits ne soit déterminée.
L'Atalante, un navire de l'Institut français de recherche pour l'exploitation de la mer (Ifremer), est arrivé sur place tôt jeudi, a-t-on appris auprès de l'institut. Il est doté d'un robot, le ROV Victor 6000, capable de plonger jusqu'à l'épave du Titanic qui gît par près de 4.000 mètres de fond.
Le Victor 6000 est le "principal espoir" pour une opération de secours sous-marine, a déclaré aux journalistes Rob Larter, un expert du British Antarctic Survey (un organisme britannique de recherche basé à Cambridge).
La zone de recherches en surface s'étend sur 20.000 kilomètres carrés.
Depuis le début des recherches, des informations mettant en cause OceanGate sont dévoilées sur de possibles négligences techniques de l'appareil de tourisme sous-marin.
Malo Pinatel, avec AFP
Les cinq passagers du submersible recherché depuis dimanche dans l'Atlantique nord, près de l'épave du Titanic sont morts, a annoncé l'entreprise dans un communiqué jeudi.
Les garde-côtes américains ont de leur côté assuré que les débris du submersible retrouvés montraient que l'engin a subi une "implosion catastrophique".
Ils avaient annoncé précédemment sur Twitter qu'un "champ de débris" avait été localisé "dans la zone de recherche par un ROV (Remotely Operated Vehicle, soit engin téléguidé, ndlr) près du Titanic", le célébrissime paquebot de croisière qui avait sombré il y a 111 ans au large des Etats-Unis et du Canada.
Les secouristes avaient évalué à 11:08 GMT ce jeudi l'heure à laquelle les passagers pourraient se trouver à court d'oxygène à bord du Titan, petit explorateur en eaux profondes de l'entreprise privée américaine OceanGate Expeditions. Porté disparu depuis dimanche, l'engin disposait d'une autonomie théorique de 96 heures en plongée.
L'annonce mercredi de la détection de bruits sous l'eau par des avions P-3 canadiens a suscité de l'espoir et orienté l'armada multinationale de sauveteurs dépêchés sur place, sans que l'origine des bruits ne soit déterminée.
L'Atalante, un navire de l'Institut français de recherche pour l'exploitation de la mer (Ifremer), est arrivé sur place tôt jeudi, a-t-on appris auprès de l'institut. Il est doté d'un robot, le ROV Victor 6000, capable de plonger jusqu'à l'épave du Titanic qui gît par près de 4.000 mètres de fond.
Le Victor 6000 est le "principal espoir" pour une opération de secours sous-marine, a déclaré aux journalistes Rob Larter, un expert du British Antarctic Survey (un organisme britannique de recherche basé à Cambridge).
La zone de recherches en surface s'étend sur 20.000 kilomètres carrés.
Depuis le début des recherches, des informations mettant en cause OceanGate sont dévoilées sur de possibles négligences techniques de l'appareil de tourisme sous-marin.
Malo Pinatel, avec AFP
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