Selon Ghayath Yazbeck, membre du bloc de la République forte (Forces libanaises), l’approche française d’appuyer la candidature de Sleiman Frangié pour la présidentielle avait changé avec la venue de l’émissaire français Jean-Yves le Drian.
Dans un entretien avec la Radio Voix de tout le Liban, M. Yazbeck a révélé que M. Le Drian avait parlé avec sincérité et objectivité et avait posé des questions sur un troisième choix ou des noms hors du cadre des candidats déclarés.
Selon le député Yazbeck, la réponse FL était claire : « Nous avons appuyé la candidature de Michel Moawad et puis de Jihad Azour. Nous ne reculerons sous aucun prétexte ». Il a ajouté que ce qui est requis aujourd’hui c’est que la Moumanaa (l'axe obstructionniste), et particulièrement le Hezbollah, se délaisse de M. Frangié surtout après les expériences passées. « La session parlementaire dernière a montré un consensus national pour le rejet de Frangié pour des raisons objectives et non malveillantes » a-t-il ajouté.
M. Yazbeck a refusé de commenter les rumeurs selon lesquelles Samir Geagea aurait décrit le Commandant en chef de l’armée plusieurs fois de « Aouniste » pour le discréditer, soulignant que le général Joseph Aoun "a prouvé ses capacités de leadership qui lui permettent d’accéder à la magistrature suprême".
Dans un entretien avec la Radio Voix de tout le Liban, M. Yazbeck a révélé que M. Le Drian avait parlé avec sincérité et objectivité et avait posé des questions sur un troisième choix ou des noms hors du cadre des candidats déclarés.
Selon le député Yazbeck, la réponse FL était claire : « Nous avons appuyé la candidature de Michel Moawad et puis de Jihad Azour. Nous ne reculerons sous aucun prétexte ». Il a ajouté que ce qui est requis aujourd’hui c’est que la Moumanaa (l'axe obstructionniste), et particulièrement le Hezbollah, se délaisse de M. Frangié surtout après les expériences passées. « La session parlementaire dernière a montré un consensus national pour le rejet de Frangié pour des raisons objectives et non malveillantes » a-t-il ajouté.
M. Yazbeck a refusé de commenter les rumeurs selon lesquelles Samir Geagea aurait décrit le Commandant en chef de l’armée plusieurs fois de « Aouniste » pour le discréditer, soulignant que le général Joseph Aoun "a prouvé ses capacités de leadership qui lui permettent d’accéder à la magistrature suprême".
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