Le bloc parlementaire de la République forte (Forces libanaises) a considéré, mardi, que « le dialogue auquel aspire le camp de la Moumanaa (le Hezbollah et ses alliés) est un renversement de Taëf et de la Constitution libanaise, d'une manière qui contredit l'ordre public, à travers le tiers de blocage et la mainmise sur les décisions stratégiques de l’État ».
Dans le cadre de sa réunion périodique présidée par le chef des Forces libanaises, Samir Geagea, les membres du bloc ont affirmé que « tout appel au dialogue et que toute adhésion à cette initiative constitue un désistement public des institutions, notamment la Chambre des députés qui se doit d’élire un président de la République ». Et de considérer qu'« il s’agit d’un désistement du Document d’entente nationale surtout que les solutions sur lesquelles ont convenu tous les Libanais en ce qui concerne la question de l’armement illégale et de la souveraineté figurent explicitement dans l’accord de Taëf ».
D’après eux, « le prétexte selon lequel il faut passer par le dialogue pour soulever les principaux dossiers litigieux et parvenir à des solutions est une opération ‘frauduleuse’ », surtout que « ce dialogue, auquel les appels se font incessants et répétitifs, a eu lieu dans la ville de Taëf, au lendemain de la guerre civile libanaise, et a donné naissance au Document d’entente nationale ».
Lors de leur réunion, les membres de la République forte ont réitéré leur attachement à l'accord de Taëf et leur volonté de préserver les institutions. Ils ont, par ailleurs, souligné ne pas être contre le dialogue comme principe, mais qu’il faut y recourir dans un cadre juridique et constitutionnel. Selon eux, « contrecarrer le blocage et parvenir à des solutions ne se fait pas à travers des séances placées sous le titre du dialogue. Cela se fait selon « les procédés prévus par la Constitution, dans le cadre de séances électorales parlementaires ouvertes visant à élire un président ».
Dans le cadre de sa réunion périodique présidée par le chef des Forces libanaises, Samir Geagea, les membres du bloc ont affirmé que « tout appel au dialogue et que toute adhésion à cette initiative constitue un désistement public des institutions, notamment la Chambre des députés qui se doit d’élire un président de la République ». Et de considérer qu'« il s’agit d’un désistement du Document d’entente nationale surtout que les solutions sur lesquelles ont convenu tous les Libanais en ce qui concerne la question de l’armement illégale et de la souveraineté figurent explicitement dans l’accord de Taëf ».
D’après eux, « le prétexte selon lequel il faut passer par le dialogue pour soulever les principaux dossiers litigieux et parvenir à des solutions est une opération ‘frauduleuse’ », surtout que « ce dialogue, auquel les appels se font incessants et répétitifs, a eu lieu dans la ville de Taëf, au lendemain de la guerre civile libanaise, et a donné naissance au Document d’entente nationale ».
Lors de leur réunion, les membres de la République forte ont réitéré leur attachement à l'accord de Taëf et leur volonté de préserver les institutions. Ils ont, par ailleurs, souligné ne pas être contre le dialogue comme principe, mais qu’il faut y recourir dans un cadre juridique et constitutionnel. Selon eux, « contrecarrer le blocage et parvenir à des solutions ne se fait pas à travers des séances placées sous le titre du dialogue. Cela se fait selon « les procédés prévus par la Constitution, dans le cadre de séances électorales parlementaires ouvertes visant à élire un président ».
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