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- La voie vers Haret Hreik reste bloquée devant Bassil
Les contacts menés discrètement depuis quelque temps pour organiser une rencontre entre l’ex-président et fondateur du CPL, Michel Aoun, et le chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah, afin de rétablir les ponts coupés entre les deux partis, se sont interrompus subitement. En fait, ils se sont heurtés aux conditions et contre-conditions de l’un et de l’autre.
Michel Aoun aurait exigé que son gendre et chef du CPL, Gebran Bassil, soit présent à la rencontre qui doit porter, entre autres, sur un développement de l’accord de Mar Mikhaël, qu’il avait cosigné le 6 février 2006 avec Hassan Nasrallah. Mais le Hezbollah a opposé une fin de non-recevoir à cette requête.
La formation pro-iranienne veut que les discussions autour de Mar Mikhaël se déroulent avec Michel Aoun seulement, quitte à prendre langue plus tard avec Gebran Bassil. Une condition que l’ancien président a immédiatement rejetée. Michel Aoun veut que son gendre soit présent à toute réunion avec Hassan Nasrallah, quel qu’en soit le thème.
Le Hezbollah n’a pas totalement tourné le dos à son seul (ancien) allié chrétien et n’a pas d’inconvénient à développer l’accord de Mar Mikhaël.
Michel Aoun aurait exigé que son gendre et chef du CPL, Gebran Bassil, soit présent à la rencontre qui doit porter, entre autres, sur un développement de l’accord de Mar Mikhaël, qu’il avait cosigné le 6 février 2006 avec Hassan Nasrallah. Mais le Hezbollah a opposé une fin de non-recevoir à cette requête.
La formation pro-iranienne veut que les discussions autour de Mar Mikhaël se déroulent avec Michel Aoun seulement, quitte à prendre langue plus tard avec Gebran Bassil. Une condition que l’ancien président a immédiatement rejetée. Michel Aoun veut que son gendre soit présent à toute réunion avec Hassan Nasrallah, quel qu’en soit le thème.
Le Hezbollah n’a pas totalement tourné le dos à son seul (ancien) allié chrétien et n’a pas d’inconvénient à développer l’accord de Mar Mikhaël.
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