L'avocat général près la Cour d'appel de Beyrouth, le juge Raja Hamouche, examine actuellement le dossier de l'ambassadeur du Liban en France, Rami Adwane, soupçonné de «viol de deux employées de l'ambassade du Liban à Paris et d'agression physique à leur encontre».
Une source judiciaire a précisé que le juge Hamouche «décidera lundi prochain s'il devra convoquer Adwane pour l'interroger avant de prendre des mesures à son encontre». La source a confié à «Houna Loubnan» que le dossier «comprend un rapport du ministère libanais des Affaires étrangères et l'enquête menée par la mission diplomatique à Paris». «Il manque un élément important dans le dossier, à savoir les témoignages des deux plaignantes devant la police française», a-t-elle expliqué, soulignant qu'il faudra savoir si ces deux femmes auront «la possibilité de se rendre au Liban pour témoigner devant la justice libanaise». Si tel n'est pas le cas, la justice enverra à la France une demande pour les interroger afin d'obtenir des réponses à quelques questions spécifiques». La source a également indiqué que le dossier «suivra son cours légal et ne s'arrêtera que par une décision interdisant les poursuites contre l'ambassadeur ou le renvoyant devant un tribunal».
Une source judiciaire a précisé que le juge Hamouche «décidera lundi prochain s'il devra convoquer Adwane pour l'interroger avant de prendre des mesures à son encontre». La source a confié à «Houna Loubnan» que le dossier «comprend un rapport du ministère libanais des Affaires étrangères et l'enquête menée par la mission diplomatique à Paris». «Il manque un élément important dans le dossier, à savoir les témoignages des deux plaignantes devant la police française», a-t-elle expliqué, soulignant qu'il faudra savoir si ces deux femmes auront «la possibilité de se rendre au Liban pour témoigner devant la justice libanaise». Si tel n'est pas le cas, la justice enverra à la France une demande pour les interroger afin d'obtenir des réponses à quelques questions spécifiques». La source a également indiqué que le dossier «suivra son cours légal et ne s'arrêtera que par une décision interdisant les poursuites contre l'ambassadeur ou le renvoyant devant un tribunal».
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