La Fondation Jean-Luc Lagardère et l’Institut du monde arabe (IMA) ont annoncé la Sélection officielle du Prix de la littérature arabe 2023. Huit ouvrages ont ainsi été présélectionnés et seront proposés au jury:
- Je me souviens de Falloujah de Feurat Alani (Irak), éd. JC Lattès
- Les Portes du paradis (traduit de l’arabe par Luc Barbulesco) de Taleb Alrefai (Koweït), éd. Sindbad/Actes Sud
- Les Jardins de Basra (traduit de l’arabe par Philippe Vigreux) de Mansoura Ez-Eldin (Égypte), éd. Sindbad/Actes Sud
- Les Cinq Sœurs de Percy Kemp (Liban), éd. Seuil
- Noir Liban de Salma Kojok (Liban), éd. Erick Bonnier
- Sur le méridien de Greenwich (traduit de l’arabe par Sophie Pommier et May Rostom) de Shady Lewis (Égypte), éd. Sindbad/Actes Sud
- Si j’avais un franc d’Abdelkrim Saifi (Algérie), éd. Anne Carrière
- La Demeure du vent (traduit de l’arabe par Khaled Osman et Ola Mehanna) de Samar Yazbek (Syrie), éd. Stock
La sélection de cette nouvelle édition met à l’honneur la grande richesse de la littérature arabe, à travers les romans d’écrivaines et d’écrivains issus de divers pays (Algérie, Égypte, Irak, Koweït, Liban, Syrie) mais aussi la qualité des traductions et la diversité des sujets abordés, portées par l’engagement de belles maisons d’édition.
Dans le cadre de cette édition, quatre rencontres littéraires avec les finalistes du Prix de la littérature arabe 2023 seront proposées dans la Bibliothèque de l’IMA – entrée libre (programmation à venir).
Créé en 2013, le Prix de la littérature arabe est l’une des rares récompenses françaises distinguant la création littéraire arabe. Ce prix, doté de 10.000 euros, promeut l’œuvre d’un écrivain originaire et/ou ressortissant de l’un des pays de la Ligue arabe et auteur d’un ouvrage écrit ou traduit en français et publié entre le 1er septembre 2022 et le 30 septembre 2023.
Le jury se réunira à l’automne sous la présidence de Pierre Leroy (directeur général délégué de Lagardère SA), pour délibérer et désigner le ou la lauréat(e) de la nouvelle édition du Prix de la littérature arabe. Il ou elle sera dévoilé.e à l’occasion d’une cérémonie qui se déroulera le 28 novembre 2023, à l’Institut du monde arabe (IMA), en présence de Jack Lang, président de l’IMA.
Éditions précédentes
Depuis sa création par la fondation Jean-Luc Lagardère et l’Institut du monde arabe, le Prix de la littérature arabe a primé plus d’une quinzaine d’auteurs au talent prometteur ou confirmé. Il a notamment été remis en 2013 à Jabbour Douaihy (Liban), en 2015 à Mohammed Hasan Alwan (Arabie saoudite), en 2016 à Inaam Kachachi (Irak), en 2019 à Mohammed Abdelnabi (Égypte), en 2021 à Jokha Alharthi (Oman), en 2022 à Yamen Manai (Tunisie) et à Hammour Ziada (Soudan).
Pour plus d’informations sur le Prix de la littérature arabe, cliquez ici.
Prix des lycéens
En 2023, dans le prolongement du Prix de la littérature arabe, la Fondation Jean-Luc Lagardère et l’IMA remettront pour la première fois un Prix de la littérature arabe des lycéens (doté de 4.000 euros). Des élèves de lycées généraux, technologiques et lycées professionnels de l’Académie de Versailles seront amenés à voter pour leur ouvrage préféré parmi la sélection finale. Ce nouveau prix s’inscrit dans la lignée des engagements de la Fondation Jean-Luc Lagardère, de l’Institut du monde arabe et de l’Académie de Versailles en faveur des enjeux d’interculturalité, et dans leur volonté d’accompagner les jeunes dans la construction d’un regard sur l’altérité et sur les différentes cultures du monde.
- Je me souviens de Falloujah de Feurat Alani (Irak), éd. JC Lattès
- Les Portes du paradis (traduit de l’arabe par Luc Barbulesco) de Taleb Alrefai (Koweït), éd. Sindbad/Actes Sud
- Les Jardins de Basra (traduit de l’arabe par Philippe Vigreux) de Mansoura Ez-Eldin (Égypte), éd. Sindbad/Actes Sud
- Les Cinq Sœurs de Percy Kemp (Liban), éd. Seuil
- Noir Liban de Salma Kojok (Liban), éd. Erick Bonnier
- Sur le méridien de Greenwich (traduit de l’arabe par Sophie Pommier et May Rostom) de Shady Lewis (Égypte), éd. Sindbad/Actes Sud
- Si j’avais un franc d’Abdelkrim Saifi (Algérie), éd. Anne Carrière
- La Demeure du vent (traduit de l’arabe par Khaled Osman et Ola Mehanna) de Samar Yazbek (Syrie), éd. Stock
La sélection de cette nouvelle édition met à l’honneur la grande richesse de la littérature arabe, à travers les romans d’écrivaines et d’écrivains issus de divers pays (Algérie, Égypte, Irak, Koweït, Liban, Syrie) mais aussi la qualité des traductions et la diversité des sujets abordés, portées par l’engagement de belles maisons d’édition.
Dans le cadre de cette édition, quatre rencontres littéraires avec les finalistes du Prix de la littérature arabe 2023 seront proposées dans la Bibliothèque de l’IMA – entrée libre (programmation à venir).
Créé en 2013, le Prix de la littérature arabe est l’une des rares récompenses françaises distinguant la création littéraire arabe. Ce prix, doté de 10.000 euros, promeut l’œuvre d’un écrivain originaire et/ou ressortissant de l’un des pays de la Ligue arabe et auteur d’un ouvrage écrit ou traduit en français et publié entre le 1er septembre 2022 et le 30 septembre 2023.
Le jury se réunira à l’automne sous la présidence de Pierre Leroy (directeur général délégué de Lagardère SA), pour délibérer et désigner le ou la lauréat(e) de la nouvelle édition du Prix de la littérature arabe. Il ou elle sera dévoilé.e à l’occasion d’une cérémonie qui se déroulera le 28 novembre 2023, à l’Institut du monde arabe (IMA), en présence de Jack Lang, président de l’IMA.
Éditions précédentes
Depuis sa création par la fondation Jean-Luc Lagardère et l’Institut du monde arabe, le Prix de la littérature arabe a primé plus d’une quinzaine d’auteurs au talent prometteur ou confirmé. Il a notamment été remis en 2013 à Jabbour Douaihy (Liban), en 2015 à Mohammed Hasan Alwan (Arabie saoudite), en 2016 à Inaam Kachachi (Irak), en 2019 à Mohammed Abdelnabi (Égypte), en 2021 à Jokha Alharthi (Oman), en 2022 à Yamen Manai (Tunisie) et à Hammour Ziada (Soudan).
Pour plus d’informations sur le Prix de la littérature arabe, cliquez ici.
Prix des lycéens
En 2023, dans le prolongement du Prix de la littérature arabe, la Fondation Jean-Luc Lagardère et l’IMA remettront pour la première fois un Prix de la littérature arabe des lycéens (doté de 4.000 euros). Des élèves de lycées généraux, technologiques et lycées professionnels de l’Académie de Versailles seront amenés à voter pour leur ouvrage préféré parmi la sélection finale. Ce nouveau prix s’inscrit dans la lignée des engagements de la Fondation Jean-Luc Lagardère, de l’Institut du monde arabe et de l’Académie de Versailles en faveur des enjeux d’interculturalité, et dans leur volonté d’accompagner les jeunes dans la construction d’un regard sur l’altérité et sur les différentes cultures du monde.
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