Le front souverainiste pour le Liban et l’Association des détenus libérés des prisons syriennes ont tenu mercredi une conférence de presse au siège du Parti national libéral à Sodeco, énumérant les démarches devant être suivies en appui aux 622 Libanais disparus dans les prisons syriennes.
Le président du Mouvement du changement, Elie Mahfoud, a indiqué que les députés appartenant au front présenteront un dossier complet aux Nations unies pour soutenir la création d’une commission indépendante d’enquêtant sur le sort de tous les disparus en Syrie.
Il a rappelé que l’Assemblée générale des Nations unies a adopté une résolution pour la création de cette commission, dénonçant le fait que le Liban n’a pas voté en faveur de ce texte. Il a mis l’accent sur le fait que ce dossier est humanitaire et national et concerne tous les Libanais.
M. Mahfoud a précisé que des personnes ayant passé de nombreuses années dans les prisons syriennes, et qui ont été libérées, vivent encore l’horreur de leur détention. “Je rappelle que l’État libanais a approuvé des indemnités aux prisonniers libérés des geôles israéliennes, mais n’a montré aucun intérêt pour ceux qui ont été libérés des prisons du régime d’Assad” a-t-il poursuivi.
Le chef du Mouvement du Changement a aussi déclaré avoir attendu la loi César afin d’avoir un peu d’espoir sur le sort des Libanais dans les prisons du régime syrien “qui nie l’existence de prisonniers libanais alors qu’il y a de nombreuses preuves de présence de Libanais là-bas”. Pour rappel : la loi César a été adoptée par le Sénat américain en décembre 2019 et tire son nom d’un photographe syrien qui a fait sortir clandestinement plus de 50,000 photographies attestant de la torture dans les prisons syriennes. Cette loi vise de sanctions les personnes ou entreprises qui soutiennent le régime Assad.
M. Mahfoud a indiqué avoir soumis, avec son collègue Eddy Abillama (ancien député FL), de nombreux rapports, et plaintes contre le régime syrien, au sujet de ce dossier.
Le président du Mouvement du changement, Elie Mahfoud, a indiqué que les députés appartenant au front présenteront un dossier complet aux Nations unies pour soutenir la création d’une commission indépendante d’enquêtant sur le sort de tous les disparus en Syrie.
Il a rappelé que l’Assemblée générale des Nations unies a adopté une résolution pour la création de cette commission, dénonçant le fait que le Liban n’a pas voté en faveur de ce texte. Il a mis l’accent sur le fait que ce dossier est humanitaire et national et concerne tous les Libanais.
M. Mahfoud a précisé que des personnes ayant passé de nombreuses années dans les prisons syriennes, et qui ont été libérées, vivent encore l’horreur de leur détention. “Je rappelle que l’État libanais a approuvé des indemnités aux prisonniers libérés des geôles israéliennes, mais n’a montré aucun intérêt pour ceux qui ont été libérés des prisons du régime d’Assad” a-t-il poursuivi.
Le chef du Mouvement du Changement a aussi déclaré avoir attendu la loi César afin d’avoir un peu d’espoir sur le sort des Libanais dans les prisons du régime syrien “qui nie l’existence de prisonniers libanais alors qu’il y a de nombreuses preuves de présence de Libanais là-bas”. Pour rappel : la loi César a été adoptée par le Sénat américain en décembre 2019 et tire son nom d’un photographe syrien qui a fait sortir clandestinement plus de 50,000 photographies attestant de la torture dans les prisons syriennes. Cette loi vise de sanctions les personnes ou entreprises qui soutiennent le régime Assad.
M. Mahfoud a indiqué avoir soumis, avec son collègue Eddy Abillama (ancien député FL), de nombreux rapports, et plaintes contre le régime syrien, au sujet de ce dossier.
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