©Le ministre de la Sécurité nationale Itamar Ben-Gvir ( à droite), à Jérusalem, le 24 juillet 2023. (Photo RONALDO SCHEMIDT / AFP)
Le ministre de la Sécurité publique israélien Itamar Ben Gvir, connu pour ses positions extrémistes, a visité l'esplanade des mosquées pour y prier, jeudi 27 juillet. Ce geste, pourtant prohibé par le waqf jordanien administrant le site, s'est produit au moment où un groupe palestinien a tiré une roquette sur Israël.
Des militants palestiniens ont déclaré jeudi avoir tiré une roquette sur une localité israélienne, l'armée confirmant que des restes du projectile avaient été trouvés dans le nord de la Cisjordanie occupée.
Dans une vidéo, un groupe se faisant appeler le bataillon Ayyash a affirmé avoir tiré une roquette sur Ram-On, une localité du nord d'Israël, située au nord de la Cisjordanie.
L'armée a déclaré avoir, après la publication de cette vidéo, "localisé des restes de roquette artisanale à proximité de la localité de Silat al-Harithiya", au nord-ouest de Jénine en Cisjordanie, territoire occupé par Israël depuis 1967.
Aucun blessé ni dégât n'a été signalé.
Ce tir de roquette s'est produit alors que les juifs célébraient Tisha B'av, le jour où, il y a des milliers d'années selon la tradition, les deux temples juifs situés sur le mont du Temple, actuellement le site de la mosquée Al-Aqsa à Jérusalem-Est, occupée et annexée par Israël, ont été détruits.
Le ministre d'extrême droite de la Sécurité publique Itamar Ben Gvir faisait partie des quelque 2.000 juifs qui ont visité le complexe jeudi, dont 16 ont été arrêtés pour "s'être inclinés ou avoir chanté", selon des militants israéliens et la police.
Les juifs sont autorisés à visiter le site, administré par l'organisation musulmane Waqf, mais il leur est interdit d'y prier.
Cette visite s'est déroulée en plein regain de tensions israélo-palestiniennes. C'est la deuxième fois depuis le début du mois de juillet que des militants palestiniens en Cisjordanie visent des Israéliens avec des roquettes.
Le 10 juillet, l'armée avait "localisé deux trépieds et deux restes de roquettes artisanales" à proximité de la colonie juive de Shaked, dans le nord de la Cisjordanie.
L'armée avait alors déclaré que ces roquettes "ne représentaient pas une menace pour les civils".
Malo Pinatel, avec AFP
Des militants palestiniens ont déclaré jeudi avoir tiré une roquette sur une localité israélienne, l'armée confirmant que des restes du projectile avaient été trouvés dans le nord de la Cisjordanie occupée.
Dans une vidéo, un groupe se faisant appeler le bataillon Ayyash a affirmé avoir tiré une roquette sur Ram-On, une localité du nord d'Israël, située au nord de la Cisjordanie.
L'armée a déclaré avoir, après la publication de cette vidéo, "localisé des restes de roquette artisanale à proximité de la localité de Silat al-Harithiya", au nord-ouest de Jénine en Cisjordanie, territoire occupé par Israël depuis 1967.
Aucun blessé ni dégât n'a été signalé.
Ce tir de roquette s'est produit alors que les juifs célébraient Tisha B'av, le jour où, il y a des milliers d'années selon la tradition, les deux temples juifs situés sur le mont du Temple, actuellement le site de la mosquée Al-Aqsa à Jérusalem-Est, occupée et annexée par Israël, ont été détruits.
Le ministre d'extrême droite de la Sécurité publique Itamar Ben Gvir faisait partie des quelque 2.000 juifs qui ont visité le complexe jeudi, dont 16 ont été arrêtés pour "s'être inclinés ou avoir chanté", selon des militants israéliens et la police.
Les juifs sont autorisés à visiter le site, administré par l'organisation musulmane Waqf, mais il leur est interdit d'y prier.
Cette visite s'est déroulée en plein regain de tensions israélo-palestiniennes. C'est la deuxième fois depuis le début du mois de juillet que des militants palestiniens en Cisjordanie visent des Israéliens avec des roquettes.
Le 10 juillet, l'armée avait "localisé deux trépieds et deux restes de roquettes artisanales" à proximité de la colonie juive de Shaked, dans le nord de la Cisjordanie.
L'armée avait alors déclaré que ces roquettes "ne représentaient pas une menace pour les civils".
Malo Pinatel, avec AFP
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