Le secrétaire général du Hezbollah, Hassan Nasrallah, a déclaré qu’il était nécessaire pour «les ministres des Affaires étrangères des pays musulmans d’adopter des positions fermes et de transmettre un message clair à tous les pays qui agressent ou portent atteinte à des objets sacro-saints de l’islam, et à les boycotter économiquement et politiquement». Par cela, il faisait référence à la profanation la semaine dernière d’un exemplaire du Coran par un Irakien réfugié en Suède. Il avait d’ailleurs appelé à une large participation aux sit-in de protestation dans les mosquées vendredi dernier.
Dans son discours de clôture de la marche d'Achoura, le chef de la formation pro-iranienne s’est également prononcé sur la situation politique libanaise, insistant sur le fait que le gouvernement sortant doit impérativement continuer d'assumer ses responsabilités. M. Nasrallah a par ailleurs appelé le Parlement à tenir des séances législatives, sachant pertinemment que la Chambre est un collège exclusivement électoral depuis le 21 octobre dernier, et cela jusqu’à l’élection d’un nouveau président de la République, en vertu de la Constitution. Une manœuvre désormais évidente pour le numéro 1 du Hezb de normaliser le vide présidentiel et de promouvoir la paralysie des institutions.
Hassan Nasrallah a aussi profité de l’occasion pour relancer «l’invitation au dialogue» afin de surmonter l’impasse présidentielle. Une initiative aussi irrationnelle que ridicule, puisque le Hezb ne cherche qu’à imposer son candidat par la force et à propager sa gangrène au sein de l’État.
Il a finalement conclu son discours en attaquant Israël et en l’accusant d’occuper une partie de la région frontalière de Ghajar au Liban-Sud.
Dans son discours de clôture de la marche d'Achoura, le chef de la formation pro-iranienne s’est également prononcé sur la situation politique libanaise, insistant sur le fait que le gouvernement sortant doit impérativement continuer d'assumer ses responsabilités. M. Nasrallah a par ailleurs appelé le Parlement à tenir des séances législatives, sachant pertinemment que la Chambre est un collège exclusivement électoral depuis le 21 octobre dernier, et cela jusqu’à l’élection d’un nouveau président de la République, en vertu de la Constitution. Une manœuvre désormais évidente pour le numéro 1 du Hezb de normaliser le vide présidentiel et de promouvoir la paralysie des institutions.
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