Le Front souverainiste a tenu une conférence de presse extraordinaire jeudi, au siège du Parti national libéral (PNL) à Sodeco pour discuter des incidents sécuritaires itinérants dans le pays, notamment des heurts meurtriers, mercredi à Kahalé, entre des habitants de cette localité et des miliciens du Hezbollah.
Dans un communiqué, le front, composé de personnalités de l'opposition, a appelé au "désarmement du Hezbollah", estimant que "la crise au Liban n'est pas sectaire ni à caractère religieux". Pour lui, cette crise est "liée aux armes illégales entre les mains d'un groupe au service de l'Iran". Il a insisté sur le fait qu'"il ne saurait y avoir de solution au Liban, en dehors du cadre de l'État et de ses institutions".
"Les habitants de Kahalé ont le droit de connaître l'identité de l'assassin de Fadi Bejjani", insiste le texte qui appelle à "livrer le criminel qui a abattu de sang-froid un jeune homme pacifique, ainsi que le sort des tireurs qui ont fui après leur crime". Il juge nécessaire que "le rôle de l'État et de ses services dans de tels événements récurrents soit bien déterminé".
Dans un communiqué, le front, composé de personnalités de l'opposition, a appelé au "désarmement du Hezbollah", estimant que "la crise au Liban n'est pas sectaire ni à caractère religieux". Pour lui, cette crise est "liée aux armes illégales entre les mains d'un groupe au service de l'Iran". Il a insisté sur le fait qu'"il ne saurait y avoir de solution au Liban, en dehors du cadre de l'État et de ses institutions".
"Les habitants de Kahalé ont le droit de connaître l'identité de l'assassin de Fadi Bejjani", insiste le texte qui appelle à "livrer le criminel qui a abattu de sang-froid un jeune homme pacifique, ainsi que le sort des tireurs qui ont fui après leur crime". Il juge nécessaire que "le rôle de l'État et de ses services dans de tels événements récurrents soit bien déterminé".
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