©(Photo: KOLA SULAIMON / AFP)
La Cedeao a ordonné jeudi en fin de journée le déploiement de sa "force en attente" pour rétablir l'ordre constitutionnel au Niger, selon les résolutions du sommet des pays de l'Ouest de l'Afrique, réuni à Abuja.
Les dirigeants de la Communauté économique des États d'Afrique de l'Ouest (Cedeao) ont ordonné jeudi le déploiement de la "force en attente" de l'organisation régionale pour restaurer l'ordre constitutionnel au Niger, selon les résolutions lues à la fin d'un sommet à Abuja.
L'organisation a ordonné "le déploiement de la force en attente de la Cedeao pour rétablir l'ordre constitutionnel au Niger", a déclaré le président de la Commission de la Cedeao, Omar Touray, à l'issue de ce sommet extraordinaire sur le Niger.
Il n'était pas immédiatement possible de déterminer ce que ce déploiement signifie concrètement pour le Niger.
Le président du Nigeria Bola Tinubu, à la tête de la Cedeao, avait affirmé avant la lecture des résolutions, espérer "parvenir à une résolution pacifique", ajoutant : "tout n'est pas perdu".
Le président de la Côte d'Ivoire, Alassane Ouattara, a lui affirmé à la presse avant son départ du sommet "que la Cedeao était intervenue par le passé au Liberia, en Sierra Leone, en Gambie et en Guinée-Bissau" lorsque l'ordre constitutionnel était menacé.
"Aujourd'hui, le Niger connaît une situation similaire et je tiens à dire que la Cedeao ne peut l'accepter", a-t-il ajouté.
"Nous avons essayé de dialoguer avec les putschistes au Niger, nous avons envoyé des délégations et de hautes personnalités (...) Mais ils gardent le président Bazoum en otage", a-t-il poursuivi.
Pierre Daccache, avec AFP
Les dirigeants de la Communauté économique des États d'Afrique de l'Ouest (Cedeao) ont ordonné jeudi le déploiement de la "force en attente" de l'organisation régionale pour restaurer l'ordre constitutionnel au Niger, selon les résolutions lues à la fin d'un sommet à Abuja.
L'organisation a ordonné "le déploiement de la force en attente de la Cedeao pour rétablir l'ordre constitutionnel au Niger", a déclaré le président de la Commission de la Cedeao, Omar Touray, à l'issue de ce sommet extraordinaire sur le Niger.
Il n'était pas immédiatement possible de déterminer ce que ce déploiement signifie concrètement pour le Niger.
Le président du Nigeria Bola Tinubu, à la tête de la Cedeao, avait affirmé avant la lecture des résolutions, espérer "parvenir à une résolution pacifique", ajoutant : "tout n'est pas perdu".
Le président de la Côte d'Ivoire, Alassane Ouattara, a lui affirmé à la presse avant son départ du sommet "que la Cedeao était intervenue par le passé au Liberia, en Sierra Leone, en Gambie et en Guinée-Bissau" lorsque l'ordre constitutionnel était menacé.
"Aujourd'hui, le Niger connaît une situation similaire et je tiens à dire que la Cedeao ne peut l'accepter", a-t-il ajouté.
"Nous avons essayé de dialoguer avec les putschistes au Niger, nous avons envoyé des délégations et de hautes personnalités (...) Mais ils gardent le président Bazoum en otage", a-t-il poursuivi.
Pierre Daccache, avec AFP
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