À l’approche de la rentrée universitaire, le club laïque de l'Université libanaise a organisé jeudi, en coordination avec d’autres réseaux étudiants, un sit-in devant le bâtiment de l'administration centrale de l'UL, pour protester contre l'augmentation des frais d’inscription et d’études.
Les étudiants ont condamné la politique du gouvernement vis-à-vis de l’UL, rejetant l’augmentation considérée comme étant «arbitraire».
Ils ont relevé que les frais d’inscription à l’Université libanaise seront multipliés par dix, atteignant au minimum 150 dollars pour les étudiants libanais et environ 500 dollars pour les étudiants étrangers.
«Cette augmentation ne couvrira même pas les salaires de nos professeurs, qui n'ont pas pu obtenir leurs droits en raison de l'incapacité des responsables à gérer» ce dossier, a déclaré leur porte-parole, Zahra Nemr. Selon elle, le problème ne réside pas dans le montant des nouveaux frais, mais dans «la mauvaise gestion du budget de l’université».
Les manifestants ont notamment relevé «l’absence de toute garantie que l’argent en question servira à revitaliser l’université publique, malgré la multitude des discours officiels».
«L'étudiant n’est pas supposé assumer les conséquences de votre corruption, de votre gaspillage et de votre impuissance», s’est indignée Zahra Nemr au nom des manifestants en s’adressant aux responsables.
Les étudiants ont condamné la politique du gouvernement vis-à-vis de l’UL, rejetant l’augmentation considérée comme étant «arbitraire».
Ils ont relevé que les frais d’inscription à l’Université libanaise seront multipliés par dix, atteignant au minimum 150 dollars pour les étudiants libanais et environ 500 dollars pour les étudiants étrangers.
«Cette augmentation ne couvrira même pas les salaires de nos professeurs, qui n'ont pas pu obtenir leurs droits en raison de l'incapacité des responsables à gérer» ce dossier, a déclaré leur porte-parole, Zahra Nemr. Selon elle, le problème ne réside pas dans le montant des nouveaux frais, mais dans «la mauvaise gestion du budget de l’université».
Les manifestants ont notamment relevé «l’absence de toute garantie que l’argent en question servira à revitaliser l’université publique, malgré la multitude des discours officiels».
«L'étudiant n’est pas supposé assumer les conséquences de votre corruption, de votre gaspillage et de votre impuissance», s’est indignée Zahra Nemr au nom des manifestants en s’adressant aux responsables.
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