©(Photo de STRINGER/AFP)
Alors que les incidents se multiplient en mer Noire, la Russie a déclaré avoir "anéanti" un navire de reconnaissance de l'armée ukrainienne mardi matin. Les attaques se multiplient des deux côtés de la région depuis le retrait de Moscou en juillet d'un important accord commercial sur les céréales.
La Russie a affirmé mardi matin avoir "détruit" un navire de reconnaissance de l'armée ukrainienne en mer Noire, lieu où les attaques, tant russes qu'ukrainiennes, se sont multipliées depuis le retrait de Moscou en juillet d'un important accord céréalier.
Pour la cinquième journée consécutive, la Défense russe a également dit avoir abattu des drones ukrainiens dans la région de Moscou où, comme lors des attaques précédentes, aucune victime n'a été recensée selon les autorités.
Dans la nuit de lundi à mardi, un avion de combat "de l'aviation navale de la Flotte de la mer Noire a détruit un navire de reconnaissance des forces armées ukrainiennes", a indiqué le ministère russe de la Défense sur Telegram.
Ce navire se trouvait "dans la zone d'installations russes de production de gaz dans la mer Noire", selon le ministère qui n'a pas fourni plus de détails sur cet incident.
Les attaques se multiplient de part et d'autre dans la région de la mer Noire depuis que Moscou a refusé mi-juillet de reconduire un accord négocié par l'ONU et la Turquie qui autorisait les exportations de céréales ukrainiennes.
La Russie a bombardé à plusieurs reprises des infrastructures portuaires ukrainiennes en mer Noire et sur le Danube, tandis que l'Ukraine a attaqué des navires russes dans ses eaux et la péninsule de Crimée, annexée par Moscou en 2014.
Lundi soir, la Défense russe avait indiqué avoir "déjoué" une attaque ukrainienne de drones, neutralisant deux appareils qui se sont écrasés en mer Noire, "à 40 km au nord-ouest" de la péninsule.
Des bâtiments de la flotte russe avaient été visés jeudi soir par une attaque ukrainienne menée avec un drone naval alors qu'ils contrôlaient la navigation en mer Noire, avait affirmé la Défense russe. Le drone avait été "détruit" par les tirs des navires militaires sans atteindre sa cible, selon Moscou.
Marie de La Roche Saint-André, avec AFP
La Russie a affirmé mardi matin avoir "détruit" un navire de reconnaissance de l'armée ukrainienne en mer Noire, lieu où les attaques, tant russes qu'ukrainiennes, se sont multipliées depuis le retrait de Moscou en juillet d'un important accord céréalier.
Pour la cinquième journée consécutive, la Défense russe a également dit avoir abattu des drones ukrainiens dans la région de Moscou où, comme lors des attaques précédentes, aucune victime n'a été recensée selon les autorités.
Dans la nuit de lundi à mardi, un avion de combat "de l'aviation navale de la Flotte de la mer Noire a détruit un navire de reconnaissance des forces armées ukrainiennes", a indiqué le ministère russe de la Défense sur Telegram.
Ce navire se trouvait "dans la zone d'installations russes de production de gaz dans la mer Noire", selon le ministère qui n'a pas fourni plus de détails sur cet incident.
Les attaques se multiplient de part et d'autre dans la région de la mer Noire depuis que Moscou a refusé mi-juillet de reconduire un accord négocié par l'ONU et la Turquie qui autorisait les exportations de céréales ukrainiennes.
La Russie a bombardé à plusieurs reprises des infrastructures portuaires ukrainiennes en mer Noire et sur le Danube, tandis que l'Ukraine a attaqué des navires russes dans ses eaux et la péninsule de Crimée, annexée par Moscou en 2014.
Lundi soir, la Défense russe avait indiqué avoir "déjoué" une attaque ukrainienne de drones, neutralisant deux appareils qui se sont écrasés en mer Noire, "à 40 km au nord-ouest" de la péninsule.
Des bâtiments de la flotte russe avaient été visés jeudi soir par une attaque ukrainienne menée avec un drone naval alors qu'ils contrôlaient la navigation en mer Noire, avait affirmé la Défense russe. Le drone avait été "détruit" par les tirs des navires militaires sans atteindre sa cible, selon Moscou.
Marie de La Roche Saint-André, avec AFP
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