Le député Achraf Rifi a mis l’accent sur la gravité des difficultés auxquelles l’armée fait face, jugeant que celle-ci est la cible d’un «semi-complot».
Dans une intervention, mardi matin, sur les ondes de la Voix du Liban, M. Rifi est revenu sur la visite des députés de l’opposition, dont il fait partie, au commandant en chef de la troupe, le général Joseph Aoun, lundi, pour discuter des incidents meurtriers de Kahalé survenus le mercredi 9 août.
Il explique que le général Aoun leur a présenté les problèmes en rapport avec le manque de personnel, de ressources et même de carburant. Cela a poussé le député à déclarer que la troupe «est la cible d’un semi-complot visant à paralyser son travail et à l’empêcher d’accomplir ses missions».
Il ajoute: «Nous sommes pleinement convaincus que l’enquête sur les incidents de Kahalé sera transparente.»
Quatre habitants du village (où des affrontements meurtriers avaient opposé des miliciens du Hezbollah à des résidents, lorsqu’un camion chargé d’armes et appartenant à ladite formation, s’était renversé en prenant le célèbre virage de Kahalé) doivent être entendus, à titre de témoins, par le service de renseignement de l’armée. Durant la fusillade, Fadi Bejjani, un habitant de la localité, ainsi que le chauffeur du camion, ont été tués.
M. Rifi rappelle que «l’armée s’est mobilisée lorsque ce qui semblait d’abord être un accident de la route a dégénéré en un accident à dimension sécuritaire». Il a invité les habitants de Kahalé à «témoigner pour que l’enquête soit menée dans le cadre d’une justice libre».
Le député de Tripoli a insisté sur le fait que le général Aoun «a dû prendre des mesures en dehors du cadre de Kahalé», faisant valoir que ce dernier «veille à la sécurité des Libanais et n’a pas d’autres ambitions». Dans ses propos, il fait allusion à une éventuelle accession à la tête de l’État.
Toujours selon M. Rifi, le commandant en chef de l’armée «critique tout candidat qui se sert du sang versé par les Libanais pour accéder à la présidence de la République».
Dans une intervention, mardi matin, sur les ondes de la Voix du Liban, M. Rifi est revenu sur la visite des députés de l’opposition, dont il fait partie, au commandant en chef de la troupe, le général Joseph Aoun, lundi, pour discuter des incidents meurtriers de Kahalé survenus le mercredi 9 août.
Il explique que le général Aoun leur a présenté les problèmes en rapport avec le manque de personnel, de ressources et même de carburant. Cela a poussé le député à déclarer que la troupe «est la cible d’un semi-complot visant à paralyser son travail et à l’empêcher d’accomplir ses missions».
Il ajoute: «Nous sommes pleinement convaincus que l’enquête sur les incidents de Kahalé sera transparente.»
Quatre habitants du village (où des affrontements meurtriers avaient opposé des miliciens du Hezbollah à des résidents, lorsqu’un camion chargé d’armes et appartenant à ladite formation, s’était renversé en prenant le célèbre virage de Kahalé) doivent être entendus, à titre de témoins, par le service de renseignement de l’armée. Durant la fusillade, Fadi Bejjani, un habitant de la localité, ainsi que le chauffeur du camion, ont été tués.
M. Rifi rappelle que «l’armée s’est mobilisée lorsque ce qui semblait d’abord être un accident de la route a dégénéré en un accident à dimension sécuritaire». Il a invité les habitants de Kahalé à «témoigner pour que l’enquête soit menée dans le cadre d’une justice libre».
Le député de Tripoli a insisté sur le fait que le général Aoun «a dû prendre des mesures en dehors du cadre de Kahalé», faisant valoir que ce dernier «veille à la sécurité des Libanais et n’a pas d’autres ambitions». Dans ses propos, il fait allusion à une éventuelle accession à la tête de l’État.
Toujours selon M. Rifi, le commandant en chef de l’armée «critique tout candidat qui se sert du sang versé par les Libanais pour accéder à la présidence de la République».
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