Le parti Kataëb a appelé la justice à «lever la couverture» sur le Hezbollah, «la milice qui usurpe le Liban et qui menace gratuitement la vie des citoyens».
Dans un communiqué publié à l’issue de la rencontre hebdomadaire de son bureau politique, le parti a réitéré son soutien aux habitants de Kahalé, dont quatre ont été convoqués par les services de renseignements de l’armée, à la suite de la fusillade survenue le 9 août, après qu’un camion du Hezbollah chargé de munitions a versé sur le côté en prenant un virage. Un riverain, Fadi Bejjani, et le chauffeur du camion, Ahmad Ali Kassas, ont été tués.
Les Kataëb ont exprimé à cet égard leur refus que «les convocations soient publiques pour une partie (les habitants de Kahalé, NDLR) et qu’elles se fassent en catimini pour l’autre (les membres du Hezbollah, NDLR)».
«Le parti rejette cette pratique discriminatoire qui renforce, crime après crime, le sentiment que certains Libanais se trouvent au-dessus de la loi, alors que d’autres s’y soumettent et paient le prix d’une justice perdue», lit-on dans le communiqué.
Et les Kataëb de conclure: «Toutes les tentatives de légaliser les armes illégales sous prétexte du triptyque (peuple-résistance-armée) porte atteinte à tous les concepts et lois en vigueur et sape les valeurs sur lesquelles le Liban a été fondé, à savoir la liberté, la démocratie, la souveraineté, la pluralité et l’ouverture.»
Dans un communiqué publié à l’issue de la rencontre hebdomadaire de son bureau politique, le parti a réitéré son soutien aux habitants de Kahalé, dont quatre ont été convoqués par les services de renseignements de l’armée, à la suite de la fusillade survenue le 9 août, après qu’un camion du Hezbollah chargé de munitions a versé sur le côté en prenant un virage. Un riverain, Fadi Bejjani, et le chauffeur du camion, Ahmad Ali Kassas, ont été tués.
Les Kataëb ont exprimé à cet égard leur refus que «les convocations soient publiques pour une partie (les habitants de Kahalé, NDLR) et qu’elles se fassent en catimini pour l’autre (les membres du Hezbollah, NDLR)».
«Le parti rejette cette pratique discriminatoire qui renforce, crime après crime, le sentiment que certains Libanais se trouvent au-dessus de la loi, alors que d’autres s’y soumettent et paient le prix d’une justice perdue», lit-on dans le communiqué.
Et les Kataëb de conclure: «Toutes les tentatives de légaliser les armes illégales sous prétexte du triptyque (peuple-résistance-armée) porte atteinte à tous les concepts et lois en vigueur et sape les valeurs sur lesquelles le Liban a été fondé, à savoir la liberté, la démocratie, la souveraineté, la pluralité et l’ouverture.»
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