Le procureur général près la Cour de cassation Ghassan Oueidate a transmis mardi le rapport préliminaire de l’audit juricomptable de la Banque du Liban, établi par la société Alvarez & Marsal, au Parquet financier, à la Cour d'appel de Beyrouth et à la Commission spéciale d'investigation de la BDL.
Il leur a demandé l’ouverture des procédures judiciaires adéquates, chacun dans le cadre de ses compétences et de ses prérogatives.
M. Oueidate a répondu favorablement à la suggestion d’Alvarez & Marsal de mener des enquêtes complémentaires concernant les autorisations internes accordées pour la conclusion des opérations d'ingénierie financière avec certaines institutions et de clarifier la justification des taux d'intérêt, montants et conditions contractuelles accordés.
Le procureur a également demandé de déterminer le bénéficiaire final des paiements effectués à partir du compte de conseil, les justifications des commissions versées sur les opérations d'ingénierie financière, ainsi que les justifications des dépenses de la Banque centrale.
Selon M. Oueidate, une enquête est requise auprès des sociétés d'audit qui n’ont pas reflété clairement la réalité de la crise financière à la Banque centrale, et auprès de la précédente commission de contrôle des banques, qui n’a pas pris les mesures qui auraient mieux protégé l’argent des déposants.
Il leur a demandé l’ouverture des procédures judiciaires adéquates, chacun dans le cadre de ses compétences et de ses prérogatives.
M. Oueidate a répondu favorablement à la suggestion d’Alvarez & Marsal de mener des enquêtes complémentaires concernant les autorisations internes accordées pour la conclusion des opérations d'ingénierie financière avec certaines institutions et de clarifier la justification des taux d'intérêt, montants et conditions contractuelles accordés.
Le procureur a également demandé de déterminer le bénéficiaire final des paiements effectués à partir du compte de conseil, les justifications des commissions versées sur les opérations d'ingénierie financière, ainsi que les justifications des dépenses de la Banque centrale.
Selon M. Oueidate, une enquête est requise auprès des sociétés d'audit qui n’ont pas reflété clairement la réalité de la crise financière à la Banque centrale, et auprès de la précédente commission de contrôle des banques, qui n’a pas pris les mesures qui auraient mieux protégé l’argent des déposants.
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