Les autorités libanaises ont donné leur accord pour la diffusion du film Barbie dans toutes les salles de cinéma. Sa projection officielle devrait avoir lieu dans les cinémas libanais au cours des prochains jours.
Cette décision, annoncée jeudi, intervient après que le ministre sortant de la Culture, Mohammad Mortada, avait précédemment demandé à la Sûreté générale d’interdire le film puisqu’il contredisait, selon lui, les «valeurs morales et religieuses bien établies au Liban, à travers la promotion de l’homosexualité et du changement de sexe».
Dans un communiqué publié mercredi 9 août, le ministre avait également accusé le film de «tourner en ridicule le rôle de la mère, de rejeter la tutelle du père sur son foyer et de présenter le mariage et la fondation d’une famille comme des obstacles à l’épanouissement personnel».
Pourtant, le comité chargé de la censure des films, composé de représentants de la Sûreté générale et du ministère de l’Économie, a visionné le film Barbie il y a quelques jours et n’a trouvé aucun contenu ou justification pour empêcher sa projection.
Le film en question a bien fait couler de l’encre. Avec son script et ses produits dérivés jugés antipatriarcat, il s’est attiré les foudres de plusieurs pays de la région, dont l’Arabie saoudite, les Émirats Arabes Unis et l’Égypte qui ont, à l’instar du Liban, fini par approuver sa diffusion.
À noter que Barbie continue de dominer les recettes au box-office des salles de cinéma en Amérique du Nord, plus d’un mois après sa sortie, devenant un phénomène mondial. C’est le premier film d’une réalisatrice à dépasser le milliard de dollars de recettes mondiales.
Cette décision, annoncée jeudi, intervient après que le ministre sortant de la Culture, Mohammad Mortada, avait précédemment demandé à la Sûreté générale d’interdire le film puisqu’il contredisait, selon lui, les «valeurs morales et religieuses bien établies au Liban, à travers la promotion de l’homosexualité et du changement de sexe».
Dans un communiqué publié mercredi 9 août, le ministre avait également accusé le film de «tourner en ridicule le rôle de la mère, de rejeter la tutelle du père sur son foyer et de présenter le mariage et la fondation d’une famille comme des obstacles à l’épanouissement personnel».
Pourtant, le comité chargé de la censure des films, composé de représentants de la Sûreté générale et du ministère de l’Économie, a visionné le film Barbie il y a quelques jours et n’a trouvé aucun contenu ou justification pour empêcher sa projection.
Le film en question a bien fait couler de l’encre. Avec son script et ses produits dérivés jugés antipatriarcat, il s’est attiré les foudres de plusieurs pays de la région, dont l’Arabie saoudite, les Émirats Arabes Unis et l’Égypte qui ont, à l’instar du Liban, fini par approuver sa diffusion.
À noter que Barbie continue de dominer les recettes au box-office des salles de cinéma en Amérique du Nord, plus d’un mois après sa sortie, devenant un phénomène mondial. C’est le premier film d’une réalisatrice à dépasser le milliard de dollars de recettes mondiales.
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