Le Liban connaît depuis le début de l’année une hausse des cas d’hépatite A, en comparaison avec la même période en 2022. Ainsi, 1.785 cas ont été enregistrés de janvier à août 2023, notamment dans les cazas de Tripoli, Akkar, Minnié-Denniyé et Baalbeck où 204 cas ont été signalés, a indiqué samedi le ministère de la Santé publique. Selon le ministère, Ersal connaît une hausse significative des cas d’hépatite A.
«Des équipes du département de surveillance épidémiologique au ministère de la Santé prélèvent des échantillons d’eau dans les régions où le plus grand nombre d’infections à l’hépatite A a été enregistré, afin de les analyser dans les laboratoires des hôpitaux gouvernementaux», lit-on dans le communiqué.
Le ministère de la Santé souligne en outre que l’hépatite A est une «maladie endémique au Liban». «Des cas sont ainsi enregistrés tout au long de l’année dans les différentes régions libanaises», explique-t-il.
L’hépatite A est une maladie infectieuse du foie provoquée par le virus de l’hépatite A (VHA). Elle se transmet par voie féco-orale en buvant de l’eau ou en consommant des aliments contaminés. Prépondérante parmi les enfants, elle est liée à l’insalubrité.
La période d’incubation du virus est de 14 à 28 jours, à la suite de laquelle la maladie apparaît. Celle-ci se caractérise par une fièvre, suivie deux à trois jours plus tard d’une jaunisse (le blanc de l’œil et la peau deviennent jaunâtres), d’un manque d’appétit, d’une fatigue et d’une diarrhée. L’infection dure une semaine à dix jours et guérit, dans la majorité des cas, spontanément. «Généralement, les symptômes sont légers chez les nourrissons et les enfants», rassure le ministère.
Il n’existe pas de traitements à l’hépatite A. Celui-ci est symptomatologique. La prévention consiste à se laver constamment les mains, à désinfecter les fruits et les légumes en les trempant pendant quelques minutes dans une solution de javel (5ml d’eau de javel pour 1 litre d’eau salubre) ou du vinaigre blanc, à ne pas partager les couverts, à désinfecter les toilettes et à se faire vacciner contre l’hépatite A.
«Des équipes du département de surveillance épidémiologique au ministère de la Santé prélèvent des échantillons d’eau dans les régions où le plus grand nombre d’infections à l’hépatite A a été enregistré, afin de les analyser dans les laboratoires des hôpitaux gouvernementaux», lit-on dans le communiqué.
Le ministère de la Santé souligne en outre que l’hépatite A est une «maladie endémique au Liban». «Des cas sont ainsi enregistrés tout au long de l’année dans les différentes régions libanaises», explique-t-il.
L’hépatite A est une maladie infectieuse du foie provoquée par le virus de l’hépatite A (VHA). Elle se transmet par voie féco-orale en buvant de l’eau ou en consommant des aliments contaminés. Prépondérante parmi les enfants, elle est liée à l’insalubrité.
La période d’incubation du virus est de 14 à 28 jours, à la suite de laquelle la maladie apparaît. Celle-ci se caractérise par une fièvre, suivie deux à trois jours plus tard d’une jaunisse (le blanc de l’œil et la peau deviennent jaunâtres), d’un manque d’appétit, d’une fatigue et d’une diarrhée. L’infection dure une semaine à dix jours et guérit, dans la majorité des cas, spontanément. «Généralement, les symptômes sont légers chez les nourrissons et les enfants», rassure le ministère.
Il n’existe pas de traitements à l’hépatite A. Celui-ci est symptomatologique. La prévention consiste à se laver constamment les mains, à désinfecter les fruits et les légumes en les trempant pendant quelques minutes dans une solution de javel (5ml d’eau de javel pour 1 litre d’eau salubre) ou du vinaigre blanc, à ne pas partager les couverts, à désinfecter les toilettes et à se faire vacciner contre l’hépatite A.
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