Un raid israélien a ciblé l'aéroport d'Alep, la deuxième plus grande ville de Syrie, située dans le nord du pays, le lundi 28 août. Il s'agit de l'un des principaux points de concentration des forces pro-iraniennes dans le pays.
Tôt lundi matin, un raid israélien a ciblé l'aéroport d'Alep, la seconde plus grande ville de Syrie située dans le nord du pays, le rendant inutilisable, selon l'agence de presse officielle Sana, qui cite une source militaire.
"Sana a précisé que vers 04h30 (01h30 GMT), l'ennemi israélien a mené une attaque aérienne depuis la Méditerranée, à l'ouest de Lattaquié, contre l'aéroport international d'Alep."
L'attaque a causé des "dommages matériels sur la piste, rendant l'aéroport international inutilisable", a ajouté l'agence.
Depuis le début de la guerre en Syrie, Israël a effectué de nombreuses frappes aériennes sur le territoire syrien, principalement contre les forces soutenues par l'Iran et le Hezb, qui sont des alliés du gouvernement syrien et des ennemis d'Israël, ainsi que contre l'armée syrienne.
Israël, un pays voisin de la Syrie, ne commente que rarement ces frappes individuellement, mais il affirme qu'il vise à empêcher l'Iran de s'établir à proximité de ses frontières.
Selon Sleimane Khalil, un responsable du ministère des Transports syrien cité par l'AFP, "la seule piste opérationnelle de l'aéroport a été endommagée".
La région d'Alep, où les groupes soutenus par l'Iran et ses alliés sont fortement présents, ainsi que l'aéroport, ont été visés à plusieurs reprises par des attaques israéliennes depuis le début de l'année.
En début du mois de mai, des frappes avaient tué quatre soldats syriens et trois combattants étrangers appartenant à des groupes pro-iraniens. Ces frappes avaient visé l'aéroport et d'autres cibles, dont un dépôt d'armes, selon l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH).
En mars, des frappes israéliennes avaient déjà mis hors service l'aéroport d'Alep à deux reprises.
La guerre en Syrie, qui a commencé en 2011 à la suite de la répression des manifestations pro-démocratie, a entraîné la mort de plus de cinq cent mille personnes et le déplacement de plusieurs millions d'autres.
Maria Chami avec AFP
Tôt lundi matin, un raid israélien a ciblé l'aéroport d'Alep, la seconde plus grande ville de Syrie située dans le nord du pays, le rendant inutilisable, selon l'agence de presse officielle Sana, qui cite une source militaire.
"Sana a précisé que vers 04h30 (01h30 GMT), l'ennemi israélien a mené une attaque aérienne depuis la Méditerranée, à l'ouest de Lattaquié, contre l'aéroport international d'Alep."
L'attaque a causé des "dommages matériels sur la piste, rendant l'aéroport international inutilisable", a ajouté l'agence.
Depuis le début de la guerre en Syrie, Israël a effectué de nombreuses frappes aériennes sur le territoire syrien, principalement contre les forces soutenues par l'Iran et le Hezb, qui sont des alliés du gouvernement syrien et des ennemis d'Israël, ainsi que contre l'armée syrienne.
Israël, un pays voisin de la Syrie, ne commente que rarement ces frappes individuellement, mais il affirme qu'il vise à empêcher l'Iran de s'établir à proximité de ses frontières.
Selon Sleimane Khalil, un responsable du ministère des Transports syrien cité par l'AFP, "la seule piste opérationnelle de l'aéroport a été endommagée".
La région d'Alep, où les groupes soutenus par l'Iran et ses alliés sont fortement présents, ainsi que l'aéroport, ont été visés à plusieurs reprises par des attaques israéliennes depuis le début de l'année.
En début du mois de mai, des frappes avaient tué quatre soldats syriens et trois combattants étrangers appartenant à des groupes pro-iraniens. Ces frappes avaient visé l'aéroport et d'autres cibles, dont un dépôt d'armes, selon l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH).
En mars, des frappes israéliennes avaient déjà mis hors service l'aéroport d'Alep à deux reprises.
La guerre en Syrie, qui a commencé en 2011 à la suite de la répression des manifestations pro-démocratie, a entraîné la mort de plus de cinq cent mille personnes et le déplacement de plusieurs millions d'autres.
Maria Chami avec AFP
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