La commission parlementaire des Affaires étrangères a tenu, jeudi, une réunion consacrée aux «dangers du déferlement de migrants syriens» vers le Liban. Le ministre sortant des Affaires sociales, Hector Hajjar, qui a pris part aux discussions, a émis un ensemble de propositions concrètes relatives à ce dossier.
M. Hajjar a exprimé «son soutien aux mesures appliquées par l’armée et les forces de sécurité, qui refoulent vers la Syrie les déplacés clandestins et les sans-papiers». Il a également insisté sur «l’application stricte de la décision ministérielle émise le 23 octobre 2014, laquelle demande à l’Agence des Nations unies pour les réfugiés de n’inscrire aucun nouveau déplacé». Selon le texte, «cette restriction se justifie par le fait que ces déplacements sont occasionnés par la situation économique en Syrie et non par les opérations militaires, qui se sont d’ailleurs arrêtées dans presque toutes les régions syriennes».
Ces nouveaux déplacés sont des «migrants économiques» et sont de ce fait «soumis à la loi libanaise», a insisté M. Hajjar.
Le ministre a également incité «les forces de sécurité à prendre les mesures nécessaires envers les déplacés syriens en situation irrégulière au Liban, en coordination avec les municipalités».
La liste de propositions comprend aussi un appel à «l’application de la loi en vigueur concernant le trafic humain à la frontière libano-syrienne» ainsi que «la coopération avec les forces sécuritaires syriennes pour lutter contre la vague de migration clandestine».
M. Hajjar a dénoncé un travail qui se ferait, selon lui, «dans les coulisses» pour «élaborer une nouvelle stratégie de gestion de la crise des réfugiés», «sans aucune collaboration avec le ministère des Affaires sociales», lequel devrait être «le premier concerné par cette initiative».
Il a donc recommandé «la tenue de réunions hebdomadaires par la commission ministérielle chargée du dossier des réfugiés syriens, afin de mettre en place une stratégie pour régler cette crise».
M. Hajjar a exprimé «son soutien aux mesures appliquées par l’armée et les forces de sécurité, qui refoulent vers la Syrie les déplacés clandestins et les sans-papiers». Il a également insisté sur «l’application stricte de la décision ministérielle émise le 23 octobre 2014, laquelle demande à l’Agence des Nations unies pour les réfugiés de n’inscrire aucun nouveau déplacé». Selon le texte, «cette restriction se justifie par le fait que ces déplacements sont occasionnés par la situation économique en Syrie et non par les opérations militaires, qui se sont d’ailleurs arrêtées dans presque toutes les régions syriennes».
Ces nouveaux déplacés sont des «migrants économiques» et sont de ce fait «soumis à la loi libanaise», a insisté M. Hajjar.
Le ministre a également incité «les forces de sécurité à prendre les mesures nécessaires envers les déplacés syriens en situation irrégulière au Liban, en coordination avec les municipalités».
La liste de propositions comprend aussi un appel à «l’application de la loi en vigueur concernant le trafic humain à la frontière libano-syrienne» ainsi que «la coopération avec les forces sécuritaires syriennes pour lutter contre la vague de migration clandestine».
M. Hajjar a dénoncé un travail qui se ferait, selon lui, «dans les coulisses» pour «élaborer une nouvelle stratégie de gestion de la crise des réfugiés», «sans aucune collaboration avec le ministère des Affaires sociales», lequel devrait être «le premier concerné par cette initiative».
Il a donc recommandé «la tenue de réunions hebdomadaires par la commission ministérielle chargée du dossier des réfugiés syriens, afin de mettre en place une stratégie pour régler cette crise».
Lire aussi
Commentaires