Le commandant en chef de l’armée libanaise, le général Joseph Aoun, a fustigé vendredi ceux qui critiquent l’armée, invitant tous les sceptiques à «se rendre aux frontières pour constater de visu une situation qui n’augure rien de bon».
«Le déploiement de l’armée tout le long de la frontière (libano-syrienne) est soumis à de nombreuses difficultés relatives à la nature de la zone géographique et au manque d’effectifs», a déclaré le général Aoun, lors d’une cérémonie organisée à Ras Baalbeck, pour marquer la fin des opérations de déminage d'Ersal, Qaa et Ras Baalbeck. «Mais nos soldats déploient tous les efforts nécessaires pour protéger ces frontières, empêcher la contrebande et les mouvements de migration clandestine, a-t-il poursuivi. Ils sont exposés à toutes sortes de rumeurs et sont accusés de négligence, alors que les faits quotidiens soulignent les efforts considérables fournis par les unités déployées sur le terrain.»
Et le général Aoun de marteler: «J’invite tous les sceptiques à se rendre aux frontières pour constater de visu une situation qui n’augure rien de bon. Qu’ils arrêtent leurs spéculations et qu’ils soutiennent l’armée, parce qu’elle est – et reste – la soupape de sécurité du Liban. Elle ne faillira pas à son serment ni à son devoir.»
Estimant que l’engagement de l’armée envers les habitants d'Ersal, Qaa et Ras Baalbeck «consiste à leur remettre leurs terrains déminés, après les avoir libérés des organisations terroristes lors de l’opération l’Aube des jurds», le général Aoun a affirmé que l’armée poursuivra le déminage de l’ensemble du territoire. Il a souligné à cet égard que «le soutien des pays amis et des organisations non gouvernementales nous a permis d’accomplir la mission». Il a ainsi précisé que, grâce à ce soutien, l’armée a entamé le déminage des jurds d'Ersal, de Ras Baalbeck et de Qaa, «ce qui a facilité l’établissement de postes militaires tout le long de la frontière». «Ceux-ci sont reliés par un réseau de larges routes mises à la disposition des habitants de la région pour leur faciliter l’accès à leurs terrains», a noté le général Aoun.
Selon un communiqué publié par l’ambassade des États-Unis au Liban, le gouvernement américain a fourni près de 6 millions de dollars d’aide au MAG pour les opérations de déminage au lendemain de l’opération l’Aube des jurds.
Quant aux ambassadeurs des États-Unis, Dorothy Shea, du Japon, Magoshi Masayuki, et des Pays-Bas, Hans Peter Van Der Woude, ils ont affirmé que leurs pays continueront à soutenir l’armée dans les opérations de déminage et à aider les victimes des mines à se rétablir.
Même son de cloche chez le directeur du Groupe consultatif sur les mines (MAG), Greg Crowther, qui a affirmé que MAG continuera à soutenir l’armée dans les opérations de déminage, saluant «l’engagement des soldats, leur courage, dévouement et professionnalisme».
Étaient également présents à la cérémonie, l’ambassadeur de la Corée du Sud, Il Park, le mohafez de la Békaa, Bachir Khodr, et le directeur du Centre libanais de déminage, le général Jihad Bachaalani.
«Le déploiement de l’armée tout le long de la frontière (libano-syrienne) est soumis à de nombreuses difficultés relatives à la nature de la zone géographique et au manque d’effectifs», a déclaré le général Aoun, lors d’une cérémonie organisée à Ras Baalbeck, pour marquer la fin des opérations de déminage d'Ersal, Qaa et Ras Baalbeck. «Mais nos soldats déploient tous les efforts nécessaires pour protéger ces frontières, empêcher la contrebande et les mouvements de migration clandestine, a-t-il poursuivi. Ils sont exposés à toutes sortes de rumeurs et sont accusés de négligence, alors que les faits quotidiens soulignent les efforts considérables fournis par les unités déployées sur le terrain.»
Et le général Aoun de marteler: «J’invite tous les sceptiques à se rendre aux frontières pour constater de visu une situation qui n’augure rien de bon. Qu’ils arrêtent leurs spéculations et qu’ils soutiennent l’armée, parce qu’elle est – et reste – la soupape de sécurité du Liban. Elle ne faillira pas à son serment ni à son devoir.»
Estimant que l’engagement de l’armée envers les habitants d'Ersal, Qaa et Ras Baalbeck «consiste à leur remettre leurs terrains déminés, après les avoir libérés des organisations terroristes lors de l’opération l’Aube des jurds», le général Aoun a affirmé que l’armée poursuivra le déminage de l’ensemble du territoire. Il a souligné à cet égard que «le soutien des pays amis et des organisations non gouvernementales nous a permis d’accomplir la mission». Il a ainsi précisé que, grâce à ce soutien, l’armée a entamé le déminage des jurds d'Ersal, de Ras Baalbeck et de Qaa, «ce qui a facilité l’établissement de postes militaires tout le long de la frontière». «Ceux-ci sont reliés par un réseau de larges routes mises à la disposition des habitants de la région pour leur faciliter l’accès à leurs terrains», a noté le général Aoun.
Selon un communiqué publié par l’ambassade des États-Unis au Liban, le gouvernement américain a fourni près de 6 millions de dollars d’aide au MAG pour les opérations de déminage au lendemain de l’opération l’Aube des jurds.
Quant aux ambassadeurs des États-Unis, Dorothy Shea, du Japon, Magoshi Masayuki, et des Pays-Bas, Hans Peter Van Der Woude, ils ont affirmé que leurs pays continueront à soutenir l’armée dans les opérations de déminage et à aider les victimes des mines à se rétablir.
Même son de cloche chez le directeur du Groupe consultatif sur les mines (MAG), Greg Crowther, qui a affirmé que MAG continuera à soutenir l’armée dans les opérations de déminage, saluant «l’engagement des soldats, leur courage, dévouement et professionnalisme».
Étaient également présents à la cérémonie, l’ambassadeur de la Corée du Sud, Il Park, le mohafez de la Békaa, Bachir Khodr, et le directeur du Centre libanais de déminage, le général Jihad Bachaalani.
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