Le Conseil supérieur chérié s’est réuni samedi et a décidé, à l’unanimité, de renouveler le mandat du mufti de la République, le cheikh Abdellatif Deriane. De même, le Conseil a modifié la durée des mandats. Le mufti de la République gardera son poste jusqu’à l’âge de 76 ans, tandis que les muftis des régions resteront en poste jusqu’à l'âge de 72 ans.
À noter que cette décision a été prise en dépit de la publication par le mufti, samedi matin, d’un communiqué dans lequel il exprimait son refus du renouvellement de son mandat.
Par ailleurs, le Conseil chérié a insisté sur "la nécessité d’élire un président de la République sans tarder", d’autant que "le vide présidentiel entraîne l’effritement des institutions de l’État".
Selon le communiqué publié à l’issue de la réunion, le Conseil a également dénoncé la crise socio-économique qui accable le pays, ainsi que les affrontements dans le camp de Aïn el-Héloué. Il a aussi appelé à "lutter contre le récent fléau de la migration clandestine", faisant allusion aux Syriens qui franchissent la frontière de manière illégale.
Enfin, le Conseil a fermement rejeté "la proposition de loi visant à abroger l'article 534 du Code pénal", en lien avec la dépénalisation de l’homosexualité.
À noter que cette décision a été prise en dépit de la publication par le mufti, samedi matin, d’un communiqué dans lequel il exprimait son refus du renouvellement de son mandat.
Par ailleurs, le Conseil chérié a insisté sur "la nécessité d’élire un président de la République sans tarder", d’autant que "le vide présidentiel entraîne l’effritement des institutions de l’État".
Selon le communiqué publié à l’issue de la réunion, le Conseil a également dénoncé la crise socio-économique qui accable le pays, ainsi que les affrontements dans le camp de Aïn el-Héloué. Il a aussi appelé à "lutter contre le récent fléau de la migration clandestine", faisant allusion aux Syriens qui franchissent la frontière de manière illégale.
Enfin, le Conseil a fermement rejeté "la proposition de loi visant à abroger l'article 534 du Code pénal", en lien avec la dépénalisation de l’homosexualité.
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