Le secrétaire général adjoint du Hezbollah, cheikh Naïm Kassem, a soutenu samedi que la Résistance renforcera sa puissance, son armement et sa préparation, pour faire face à une éventuelle confrontation avec Israël.
Le secrétaire général adjoint du Hezbollah, Naïm Kassem, a souligné samedi que "si certains s’attaquent à la Résistance, notamment à ses armes, c’est qu’ils tentent de camoufler leur faiblesse au niveau de l’apport de voix à la présidentielle".
"Quiconque voudrait éradiquer les armes, voudrait supprimer la Résistance, ce qui affaiblit le Liban face à Israël", a-t-il avancé lors d’une cérémonie de remise des diplômes à Beyrouth. Ainsi, "la Résistance puisera sa force dans sa collaboration triadique avec l’armée et le peuple. Elle sera ainsi consolidée dans son armement et sa disponibilité à faire face à toute confrontation avec Israël", a martelé cheikh Kassem, en réponse à "ceux qui tentent d’exposer le Liban aux influences extérieures".
Par ailleurs, le secrétaire adjoint a insisté que "tous ceux qui refusent le dialogue national sont tenus responsables de l’impasse présidentielle", lançant une pointe au camp de l’opposition. Un comble venant d'un haut officiel de la formation pro-iranienne qui est la cause principale du blocage présidentiel et de la crise politico-institutionnelle du Liban.
Le secrétaire général adjoint du Hezbollah, Naïm Kassem, a souligné samedi que "si certains s’attaquent à la Résistance, notamment à ses armes, c’est qu’ils tentent de camoufler leur faiblesse au niveau de l’apport de voix à la présidentielle".
"Quiconque voudrait éradiquer les armes, voudrait supprimer la Résistance, ce qui affaiblit le Liban face à Israël", a-t-il avancé lors d’une cérémonie de remise des diplômes à Beyrouth. Ainsi, "la Résistance puisera sa force dans sa collaboration triadique avec l’armée et le peuple. Elle sera ainsi consolidée dans son armement et sa disponibilité à faire face à toute confrontation avec Israël", a martelé cheikh Kassem, en réponse à "ceux qui tentent d’exposer le Liban aux influences extérieures".
Par ailleurs, le secrétaire adjoint a insisté que "tous ceux qui refusent le dialogue national sont tenus responsables de l’impasse présidentielle", lançant une pointe au camp de l’opposition. Un comble venant d'un haut officiel de la formation pro-iranienne qui est la cause principale du blocage présidentiel et de la crise politico-institutionnelle du Liban.
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