Le commandant en chef de la Finul, le général Aroldo Lázaro, a affirmé jeudi que l’application de la résolution 1701 du Conseil de sécurité des Nations unies dans sa totalité est «une responsabilité conjointe».
Insistant sur la nécessité de la «retenue» et sur le rôle de la Finul dans «l’atténuation des tensions» au Liban-Sud, le général Alzáro a estimé que «les faux calculs représentent un danger qui pourrait compromettre la cessation des hostilités et nous mener vers des conflits». «Il est important que les différentes parties prennent cela en considération et qu’elles aient recours à nos mécanismes de liaison et de coordination pour régler les conflits et réduire les tensions, a-t-il ajouté. L’application de la résolution 1701 dans sa totalité est une responsabilité conjointe. L’engagement des différentes parties en ce sens est nécessaire pour parvenir à une solution à long terme.»
Le général Lázaro se prononçait lors d’une cérémonie organisée au siège de la Finul, à Naqoura, à l’occasion de la Journée internationale pour la paix, fixée au 21 septembre, en présence notamment du général Mounir Chéhadé, représentant le commandant en chef de l’armée. Des gerbes de fleurs ont été déposées devant le monument dédié à la mémoire des 300 Casques bleus décédés au Liban depuis 1978.
«Nous sommes ici à la demande des autorités libanaises, qui nous accueillent depuis plus de 45 ans, a déclaré le général Lázaro. Nous travaillons en étroite collaboration avec l’armée libanaise, avec qui nous effectuons des patrouilles. Nous en effectuons également seuls. Tout cela dans le but d’aider le gouvernement libanais à étendre, un jour, son autorité sur l’ensemble de ce beau pays.»
La Journée internationale pour la paix a été instituée par l’Assemblée générale des Nations unies en 1981. Elle est consacrée au cessez-le-feu et à la non-violence et constitue une occasion pour promouvoir la tolérance, la justice et les droits de l’homme.
Insistant sur la nécessité de la «retenue» et sur le rôle de la Finul dans «l’atténuation des tensions» au Liban-Sud, le général Alzáro a estimé que «les faux calculs représentent un danger qui pourrait compromettre la cessation des hostilités et nous mener vers des conflits». «Il est important que les différentes parties prennent cela en considération et qu’elles aient recours à nos mécanismes de liaison et de coordination pour régler les conflits et réduire les tensions, a-t-il ajouté. L’application de la résolution 1701 dans sa totalité est une responsabilité conjointe. L’engagement des différentes parties en ce sens est nécessaire pour parvenir à une solution à long terme.»
Le général Lázaro se prononçait lors d’une cérémonie organisée au siège de la Finul, à Naqoura, à l’occasion de la Journée internationale pour la paix, fixée au 21 septembre, en présence notamment du général Mounir Chéhadé, représentant le commandant en chef de l’armée. Des gerbes de fleurs ont été déposées devant le monument dédié à la mémoire des 300 Casques bleus décédés au Liban depuis 1978.
«Nous sommes ici à la demande des autorités libanaises, qui nous accueillent depuis plus de 45 ans, a déclaré le général Lázaro. Nous travaillons en étroite collaboration avec l’armée libanaise, avec qui nous effectuons des patrouilles. Nous en effectuons également seuls. Tout cela dans le but d’aider le gouvernement libanais à étendre, un jour, son autorité sur l’ensemble de ce beau pays.»
La Journée internationale pour la paix a été instituée par l’Assemblée générale des Nations unies en 1981. Elle est consacrée au cessez-le-feu et à la non-violence et constitue une occasion pour promouvoir la tolérance, la justice et les droits de l’homme.
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