©(Photo AFP)
Sept candidats conservateurs à la Maison Blanche se sont affrontés, dans la soirée de mercredi 27 septembre, en direct à la télévision pour le deuxième débat du parti républicain. Florilège de quelques-unes de leurs déclarations les plus marquantes ou insolites.
L'ex-gouverneur du New Jersey, Chris Christie, le plus acéré des contempteurs de Donald Trump sur le plateau, a critiqué l'ancien président pour avoir décliné de participer au débat avec un jeu de mots.
"Vous avez peur de venir sur cette estrade pour défendre votre bilan. Si vous continuez, plus personne ne vous appellera Donald Trump, on vous appellera Donald Duck", a-t-il lancé, le mot "duck" en anglais voulant dire "canard" mais aussi "esquiver".
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En plein conflit social dans l'automobile, Tim Scott, sénateur républicain de Caroline du Sud, a lui assuré que le syndicat UAW voulait "une semaine de travail de quatre jours à la française". Avec connotation péjorative à la clé, bien sûr.
L'ancien vice-président Mike Pence a réservé une flèche au président démocrate de 80 ans, qui a rejoint mardi des ouvriers américains de l'automobile sur un piquet de grève.
"Joe Biden n'a pas sa place sur un piquet de grève. Il a sa place dans la queue pour le chômage", a-t-il lancé.
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Mike Pence, chrétien pratiquant qui fait régulièrement mention de sa foi, a, contre toute attente, semblé évoquer sa vie sexuelle sur scène.
"Ma femme n'est pas membre du syndicat des enseignants, mais je dois dire que je couche avec une enseignante depuis 38 ans", a-t-il lâché, suscitant des rires.
Il réagissait après que Chris Christie eut critiqué le président Biden, qui selon lui "couche avec une syndiquée", en référence à son épouse Jill Biden.
Malo Pinatel, avec AFP
Où est Trump?
L'ex-gouverneur du New Jersey, Chris Christie, le plus acéré des contempteurs de Donald Trump sur le plateau, a critiqué l'ancien président pour avoir décliné de participer au débat avec un jeu de mots.
"Vous avez peur de venir sur cette estrade pour défendre votre bilan. Si vous continuez, plus personne ne vous appellera Donald Trump, on vous appellera Donald Duck", a-t-il lancé, le mot "duck" en anglais voulant dire "canard" mais aussi "esquiver".
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Semaine "à la française"
En plein conflit social dans l'automobile, Tim Scott, sénateur républicain de Caroline du Sud, a lui assuré que le syndicat UAW voulait "une semaine de travail de quatre jours à la française". Avec connotation péjorative à la clé, bien sûr.
Biden, son âge, ses compétences
L'ancien vice-président Mike Pence a réservé une flèche au président démocrate de 80 ans, qui a rejoint mardi des ouvriers américains de l'automobile sur un piquet de grève.
"Joe Biden n'a pas sa place sur un piquet de grève. Il a sa place dans la queue pour le chômage", a-t-il lancé.
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Détails (trop) intimes
Mike Pence, chrétien pratiquant qui fait régulièrement mention de sa foi, a, contre toute attente, semblé évoquer sa vie sexuelle sur scène.
"Ma femme n'est pas membre du syndicat des enseignants, mais je dois dire que je couche avec une enseignante depuis 38 ans", a-t-il lâché, suscitant des rires.
Il réagissait après que Chris Christie eut critiqué le président Biden, qui selon lui "couche avec une syndiquée", en référence à son épouse Jill Biden.
Malo Pinatel, avec AFP
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