Le Conseil libanais orthodoxe a estimé samedi que «l’augmentation du nombre de migrants syriens constitue un danger et un lourd fardeau pour l’État». Insistant sur la nécessité de «freiner cette migration» et de «fermer les frontières» entre le Liban et la Syrie, il a appelé le gouvernement à «traiter ce dossier dans les plus brefs délais, avant que la grande catastrophe ne survienne, c’est-à-dire les affrontements directs entre les ressortissants libanais et les migrants syriens».
«Nous faisons assumer aux responsables politiques, aux députés et aux chefs de partis et de courants politiques la responsabilité de tout ce qui se passe au Liban», a poursuivi le Conseil libanais orthodoxe dans un communiqué publié au terme d’un rassemblement organisé par les habitants de Rmeil et d’Achrafieh en guise de protestation contre le nombre élevé de migrants syriens qui «dépasse celui de la population locale».
Il a, en outre, dénoncé «un complot international qui consiste à effectuer une politique de remplacement de la population libanaise, notamment les chrétiens, par les migrants des pays environnants, principalement palestiniens, syriens et irakiens». Ce complot rappelle, selon le Conseil libanais orthodoxe, «le plan Kissinger qui visait à forcer les chrétiens du Liban à l’exode». Il a accusé enfin certains responsables politiques d’être «complices» du Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés qui œuvre, selon lui, à les implanter au Liban.
«Nous faisons assumer aux responsables politiques, aux députés et aux chefs de partis et de courants politiques la responsabilité de tout ce qui se passe au Liban», a poursuivi le Conseil libanais orthodoxe dans un communiqué publié au terme d’un rassemblement organisé par les habitants de Rmeil et d’Achrafieh en guise de protestation contre le nombre élevé de migrants syriens qui «dépasse celui de la population locale».
Il a, en outre, dénoncé «un complot international qui consiste à effectuer une politique de remplacement de la population libanaise, notamment les chrétiens, par les migrants des pays environnants, principalement palestiniens, syriens et irakiens». Ce complot rappelle, selon le Conseil libanais orthodoxe, «le plan Kissinger qui visait à forcer les chrétiens du Liban à l’exode». Il a accusé enfin certains responsables politiques d’être «complices» du Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés qui œuvre, selon lui, à les implanter au Liban.
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