La direction des Forces de sécurité intérieure a fait état d’une résurgence des opérations d’enlèvements de Syriens contre rançons.
Les victimes sont généralement des individus qui veulent se rendre en Europe. «Les FSI avaient dans le passé mis en garde contre des opérations d’enlèvement visant des Syriens résidant sur le territoire libanais. Des gangs les attirent hors des frontières libanaises, pour éviter d’être poursuivis et interceptés par la police, après les avoir piégés via de faux comptes sur les réseaux sociaux, notamment à travers l’application TikTok», explique le texte, selon lequel les ravisseurs font croire à leurs victimes qu’ils peuvent les aider à voyager vers des pays d’Europe, soit illégalement, soit en leur débrouillant des passeports».
«Une fois kidnappée, la victime est détenue dans un local non loin de la frontière libanaise où elle est torturée. Une vidéo et des photos des séances de torture sont ensuite envoyées à la famille, en même temps que la demande de rançon contre sa libération», selon le communiqué.
Les FSI ont rappelé qu’elles ont réussi, à plusieurs reprises, et à des dates différentes, à démanteler dans le passé ces bandes de malfaiteurs, mais qu’elles ont constaté récemment «une résurgence de ces pratiques, en dépit des mises en garde répétées contre ce genre d’arnaques».
Les victimes sont généralement des individus qui veulent se rendre en Europe. «Les FSI avaient dans le passé mis en garde contre des opérations d’enlèvement visant des Syriens résidant sur le territoire libanais. Des gangs les attirent hors des frontières libanaises, pour éviter d’être poursuivis et interceptés par la police, après les avoir piégés via de faux comptes sur les réseaux sociaux, notamment à travers l’application TikTok», explique le texte, selon lequel les ravisseurs font croire à leurs victimes qu’ils peuvent les aider à voyager vers des pays d’Europe, soit illégalement, soit en leur débrouillant des passeports».
«Une fois kidnappée, la victime est détenue dans un local non loin de la frontière libanaise où elle est torturée. Une vidéo et des photos des séances de torture sont ensuite envoyées à la famille, en même temps que la demande de rançon contre sa libération», selon le communiqué.
Les FSI ont rappelé qu’elles ont réussi, à plusieurs reprises, et à des dates différentes, à démanteler dans le passé ces bandes de malfaiteurs, mais qu’elles ont constaté récemment «une résurgence de ces pratiques, en dépit des mises en garde répétées contre ce genre d’arnaques».
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