Une délégation du bloc parlementaire de la République forte (Forces libanaises) a rendu visite samedi matin au nouvel ambassadeur de France au Liban, Hervé Magro, au siège de l'ambassade à Beyrouth. L'entretien s'est déroulé en présence de l'attaché politique et médiatique à l'ambassade, Romain Calvaire.
Composée des députés Jihad Pakradouni et Nazih Matta, ainsi que du responsable FL des relations extérieures, l’ancien ministre Richard Kouyoumjian, la délégation a présenté à M. Magro une copie du mémorandum adressé le 26 septembre dernier aux États membres du Conseil des droits de l'homme des Nations unies, appuyant la position du Haut-Commissaire des Nations unies aux droits de l'homme, Volker Türk, qui avait défendu le bien-fondé de la formation d’une mission internationale d’établissement des faits, au sujet de l’explosion destructrice au port de Beyrouth, le 4 août 2020.
La délégation a en outre remis au diplomate une copie d’une lettre envoyée plus tôt au secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, pour qu’il joigne le dossier des détenus libanais dans les prisons syriennes à ceux qui sont traités par l'organisme indépendant chargé d'enquêter sur le sort des personnes portées disparues en Syrie.
Il convient de rappeler que le Liban, à travers son ministre sortant des Affaires étrangères, Abdallah Bou Habib, s’était abstenu en juin dernier de voter un projet de résolution, parrainé par l’ONU, relatif à la création d’un organisme indépendant visant à clarifier le sort des quelque 100.000 disparus en Syrie.
L’actualité politique locale et régionale, notamment le dossier de la présidentielle, de l'explosion du port de Beyrouth, ainsi que le dossier de la présence syrienne au Liban ont été également passés en revue durant l’entretien.
Composée des députés Jihad Pakradouni et Nazih Matta, ainsi que du responsable FL des relations extérieures, l’ancien ministre Richard Kouyoumjian, la délégation a présenté à M. Magro une copie du mémorandum adressé le 26 septembre dernier aux États membres du Conseil des droits de l'homme des Nations unies, appuyant la position du Haut-Commissaire des Nations unies aux droits de l'homme, Volker Türk, qui avait défendu le bien-fondé de la formation d’une mission internationale d’établissement des faits, au sujet de l’explosion destructrice au port de Beyrouth, le 4 août 2020.
La délégation a en outre remis au diplomate une copie d’une lettre envoyée plus tôt au secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, pour qu’il joigne le dossier des détenus libanais dans les prisons syriennes à ceux qui sont traités par l'organisme indépendant chargé d'enquêter sur le sort des personnes portées disparues en Syrie.
Il convient de rappeler que le Liban, à travers son ministre sortant des Affaires étrangères, Abdallah Bou Habib, s’était abstenu en juin dernier de voter un projet de résolution, parrainé par l’ONU, relatif à la création d’un organisme indépendant visant à clarifier le sort des quelque 100.000 disparus en Syrie.
L’actualité politique locale et régionale, notamment le dossier de la présidentielle, de l'explosion du port de Beyrouth, ainsi que le dossier de la présence syrienne au Liban ont été également passés en revue durant l’entretien.
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