©Une peinture murale signée Banksy. Photo prise lors de l'exposition immersive «The World of Banksy» à Paris en octobre 2022.
Depuis des décennies, les rues des grandes cités se parent des œuvres d'un artiste énigmatique du nom de Banksy. Un procès en cours à la Haute Cour de justice de Londres pourrait dévoiler la véritable identité de cet artiste de renom.
Banksy, cette figure insaisissable, qui a toujours su maintenir une distance prudente avec le grand public en préservant son identité, pourrait bientôt sortir de l’ombre à la suite d’un procès en cours à Londres, tel que l’a annoncé le journal britannique The Times, le samedi 7 octobre. L’objet du litige réside dans une collaboration entre Andrew Gallagher, dirigeant de l’entreprise Brandalised, et la célèbre enseigne de mode Guess. Durant cette collaboration, des œuvres attribuées à Banksy ont été employées pour agrémenter certains produits de la marque. Cependant, Banksy a exprimé son mécontentement vis-à-vis de cette utilisation au moyen de son compte Instagram qui compte 12 millions d’abonnés. Il a fait allusion à un acte de vol de la part de Guess, suggérant que la marque a utilisé son art sans son consentement, posant la question de la légitimité de reproduire la même action avec les vêtements de la marque.
Face à cette publication, la société commerciale de Brandalised, Full Colour Black, s’est sentie visée. Elle soutient que les propos tenus par Banksy étaient diffamatoires. Selon Full Colour Black, la déclaration de Banksy laissait entendre que l’entreprise avait, de manière illicite, utilisé son art en concédant sous licence des droits d’utilisation à Guess sans obtenir l’autorisation nécessaire. Pour réparer ce préjudice, la société demande un dédommagement d’un montant d’1,3 million de livres sterling. Cette affaire, au-delà des enjeux financiers, pourrait avoir des répercussions sans précédent sur le monde de l’art urbain: la révélation de l’identité de l’artiste légendaire, Banksy.
Une peinture murale signée Banksy. Photo prise lors de l'exposition immersive «The World of Banksy» à Paris en octobre 2022.
Banksy, cette figure insaisissable, qui a toujours su maintenir une distance prudente avec le grand public en préservant son identité, pourrait bientôt sortir de l’ombre à la suite d’un procès en cours à Londres, tel que l’a annoncé le journal britannique The Times, le samedi 7 octobre. L’objet du litige réside dans une collaboration entre Andrew Gallagher, dirigeant de l’entreprise Brandalised, et la célèbre enseigne de mode Guess. Durant cette collaboration, des œuvres attribuées à Banksy ont été employées pour agrémenter certains produits de la marque. Cependant, Banksy a exprimé son mécontentement vis-à-vis de cette utilisation au moyen de son compte Instagram qui compte 12 millions d’abonnés. Il a fait allusion à un acte de vol de la part de Guess, suggérant que la marque a utilisé son art sans son consentement, posant la question de la légitimité de reproduire la même action avec les vêtements de la marque.
Face à cette publication, la société commerciale de Brandalised, Full Colour Black, s’est sentie visée. Elle soutient que les propos tenus par Banksy étaient diffamatoires. Selon Full Colour Black, la déclaration de Banksy laissait entendre que l’entreprise avait, de manière illicite, utilisé son art en concédant sous licence des droits d’utilisation à Guess sans obtenir l’autorisation nécessaire. Pour réparer ce préjudice, la société demande un dédommagement d’un montant d’1,3 million de livres sterling. Cette affaire, au-delà des enjeux financiers, pourrait avoir des répercussions sans précédent sur le monde de l’art urbain: la révélation de l’identité de l’artiste légendaire, Banksy.
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